« Qui dépend du monde reste englué dans les zones les plus basses de l’existence. Toute ta vie tu as cherché hors de toi des sécurités et des bonheurs éphémères, continuellement suspendu entre la peur et l’espoir – ces racines de la dépendances. »
« Ta vie comme tout celle des êtres dépendants, est horrible. C’est un esclavage. Des années et des années passées dans un bureau à perpétuer la médiocrité et la pauvreté sans même éprouver le plus petit désir de t’évader de cette prison. »
« Il n’y a rien dehors ; Aucun secours ne peut te venir de l’extérieur. »
« Je ne le répéterai jamais assez : il n’y a rien en dehors de toi. Ce que tu appelles la réalité est la matérialisation, le reflet spéculaire de tes rêves ou de tes cauchemars.
« Tu dois comprendre que c’est le monde qui est en toi, et non l’inverse ! Ce qui est dans le monde extérieur et ce qui lui appartient ne peut ni te secourir ni te sauver. »
« Aspire à la liberté, quitte la foule des désespérés. Impose-toi une nouvelle façon de ressentir. Conquiers L’immensité qui est en toi et les galaxies ne seront plus que des grains de sables.
« Élargies tes horizons et tu verras rapetisser le monde. L’idéal et la réalité sont une seul et même chose. Cherche l’intégrité, et ce qui pour les autres est une montagne inaccessible ne sera pour toi qu’un petit monticule. »
« Un homme ne peut pas se cacher »
« Chacun de nos actes les plus infimes, chacune de nos perceptions et de nos pensées, nos moindre geste, les moindres expressions de notre visage s’enregistrent dans l’éternité. » Et il ajouta que notre attitude de chaque instant, tel un photogramme de notre vie, traduit l’élévation ou l’abaissement de notre âme et nous met en syntonie avec tout ce qui adviendra.
« Un homme ne peut pas se cacher ! Avec moi, tu n’es que devant l’existence. Ici, il n’y a ni partis ni syndicat. Quand tu entres dans cette pièce, tu ne peux rien y emporter de ton passé, pas même le mensonge de ton nom ou de ton rôle.
« Ici, il n’y a pas de garde-fou, auquel tu peux t’agripper. Ici, tu es seul face à toi-même. »
« Cesse d’avoir peur et de te cacher. Une part de toi doit mourir parce qu’elle est absurde. Cette mort est une chance extraordinaire que toi seul peux saisir. »
« Si tu travailles sans relâche, dit-il dans un murmure aussi doux qu’une promesse, si tu consacres autant d’années à ce labeur que tu en as consacrés à te nuire, un jour le temps éclatera, un tunnel s’ouvrira devant toi qui te guidera vers la partie la plus réelle, la plus vraie de toi-même, cette part de l’être à laquelle chaque homme devra un jour se raccorder : ton rêve. »