Emprise


Ouvrir les choses, comme le monde dans lequel je suis !

Ouvrir la prose à des mots et des idées totalement inconnue !

S’ouvrir toujours dans l’osmose de cette danse qui sens cesse me berce.

Il y eu le temps des malentendus, de l’emprise ultime et infini !

Il eu l’espace ou esclave de l’emprise tout m’était défendu !

Il y eu enfin, la prise de conscience, et l’envol au recoin interdit !

Le monde tel qu’il se voit n’est plus, les voiles légères s’envolent et s’évaporent

Et laisse peu à peu transperçait le rayon ultime de la véritable identité

Oh cruelle angoisse que le monde raisonne, enfermé dans son giron

Je ne suis plus de ce monde, mais je vie encore dans ce monde !

Il n’y a plus de prise sur mon être libéré, plus de trace et stigmate !

Le code source a été remplacé, le système a été arrêté…

Réinitialisation, l’emprise n’a plus de prise,

Ainsi s’ouvre une nouvelle configuration,

Un nouveau système propre et réel !

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