Le langage du vivant


Les etoiles inombrables me chante cette folle symphonie
qui pourrait y croire et pourtant seul j’ouvre mes petales à l’infini
la nature me parle le langage du vivant, du sacré, infini, incomensurable

Mon oreille interieur s’ouvre a cette fabuleuse simphonie

Tout est, au multiple reflet de miroir en miroir, tout s’ouvre

ou bien se ferme, seul le regard descide, seul la vision est !

mais ou sont tous ces papillons qui de lumiere s’abreuve

a chaque fois que l’on se tourne, il se montre different

pourquoi tout est identique et si diffirend vraiment

que sont c’est sempirtel vision qui nous sonde dedans

pourruoi le dehors ne s’entrevoit que dedans

pourquoi tout est inversé, qui du haut est bas

qui de gauche est drioite, qui a l’entour est centre ?

Qu’elle est cette folie qui se donne et se reprend si vite

pourquoi la lenteur s’insinu dans toute cette lourdeur

pourqoi ?pourqoi ?pourqoi ?pourqoi ?pourqoi ?pourqoi ?

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