Les étoiles danse dans la nuit fait lente
Devant, à nul autre pareil, la lune
Et quand d’un soir, la lumière plante
Les êtres, dorme d’un sommeil de rune
Mais certain, veille en leurs corps meurtri
Ils attendent l’aurore pour de multiple raison
Ils savent que la graine, est là, même si détruit
Le monde se façonne, aux rêves des néons
Alors, tape à la porte, de tout petit enfant
Ils ont pourtant la force des géants
Car leur cœur immense, s’élancent
Et jamais ne s’arrête sans limite et décence