Se guérir soi-même


Ce cycle, expansion, contraction, arrêt, est partout le rythme de la vie même en perpétuelle évolution.

S’il est bien compris, il peut être contrôlé dans vos multiples corps.

A l’instar de la respiration actuelle que vous pouvez amplifier ou moduler en profondeur, les cycles de tous vos corps peuvent être amplifiés ou modulés pour accélérer certaines transformations.

Mais vous ne pouvez pas les arrêter sauf au prix de votre propre existence.

Il y a des morts possibles pour tous les corps possibles mais si l’énergie est suffisante dans un corps, elle en garde l’empreinte essentielle.


Vous comprenez maintenant qu’en augmentant et en manipulant les énergies dans vos corps, vous purifiez la matière, vous lui redonnez une fluidité, vous empêchez sa cristallisation, signe avant coureur de son inertie avant sa dissolution.

Beaucoup de maladies sont dues à une dévitalisation de la matière, un déséquilibre énergétique local qui menace l’harmonie de l’ensemble.

Une cristallisation prématurée de la matière est due à une dispersion prématurée de son énergie.


Pour se guérir soi-même, il faut en premier se voir comme un Dieu.

Nous sommes tous Divin et sommes la conscience d’un vaste univers qui est notre corps glorieux.

Ce corps se divise en différents niveaux allant de la matière en passant par les émotions, les pensées les sentiments etc.


Ce corps est aussi complexe que peut l’être une galaxie entière et de ce fait, il faut le voir comme tel.


Vous êtes l’être suprême, la conscience qui contrôle l’équilibre de ce vaste ensemble.

Vous détenez toute la puissance et tous les pouvoirs pour maintenir l’harmonie dans votre univers car vous êtes l’essence qui unit toutes ses individualités en un tout cohérent.

Vous êtes responsable de multiples vies pour ce qui a trait à leur bonheur ou à leur malheur.

Pour eux, vous êtes le Dieu, l’énergie première qui les anime et les entoure.

Alors, décidez maintenant d’être un Dieu d’amour et de bonté
plutôt qu’un Dieu de haine et de vengeance.

Ne soyez plus ni un tyran ni un Dieu qui néglige sa création.

N’oubliez pas que toutes vos émanations vous reviennent un jour ou l’autre.

Donc ce que vous émettez envers les autres, c’est aussi envers vous-même que vous le faites.

C’est pour cela que l’on dit souvent que les déséquilibres qui nous dérangent chez les autres peuvent nous servir à mesurer nos propres déséquilibres intérieurs.


Votre corps physique est votre corps de base le plus stable, le plus abouti, donc le moins enclin aux dissonances.

Ce qui fait que les perturbations, les maladies, les difformités qui l’affectent
ne peuvent venir que des autres corps encore instables, en plein développement.

Ce sont les émotions, les pensées et les sentiments encore immatures, confus, voire perturbés, qui affectent l’état de votre corps physique.

Donc, vous devez faire en sorte que l’énergie circule dans tous vos corps d’une façon qu’elle soit répartie également.

Car la maladie est un déséquilibre énergétique provoqué par un déséquilibre de vos émotions, vos pensées ou vos sentiments, etc.

Ce déséquilibre prolongé exagérément amène une cristallisation de la matière donc un appauvrissement de l’énergie dans une zone précise du
corps correspondant.

Sa densification en matière va descendre automatiquement le fil des corps si la cause perdure jusqu’au plus dense, dans votre cas, le corps physique.

A cette étape, il est indispensable de refaire à rebours le chemin pour remonter à la source et ainsi faire cesser la cristallisation.

Normalement, si le blocage, la situation figée est réanimée, l’énergie à nouveau vibrera et circulera librement.

Toute émotion, pensée, sentiment même les plus pénibles, s’ils sont vécus
pleinement, sont cause d’un déséquilibre temporaire mais non de maladie à long terme.

C’est leur blocage, le refus de les vivre en totalité, leur cristallisation en nous qui provoquent des déséquilibres plus graves, voire permanents.

Faire circuler l’énergie dans tous ces corps, c’est d’accepter de faire
circuler librement toutes les sensations qui nous parviennent de l’extérieur.

De les assumer toutes comme étant le reflet de nos propres émanations donc nécessaires à l’évolution de notre conscience.


Ne soyez plus comme un Dieu qui répand discorde, désunion et souffrance en lui.

Donnez à votre univers ce que vous attendez de votre propre être suprême à qui vous appartenez.

Répandez des vagues d’amour, de bonté, de beauté, de vérité à travers vos différents mondes intérieurs et recevez, en retour, leurs vagues de reconnaissance.


N’attendez pas plus des mondes extérieurs que ce que vos mondes intérieurs reçoivent de vous.