Surfez sur les fréquences négative


Une des raisons les plus troublantes, sur notre conditionnement est que nous avons aucune idée claire sur ce qu’est réellement une fréquence !

Nous ne comprenons pas que tout est continu, uni, comme peut l’être un océan !

Nous voyons les choses comme séparé, fragmenté, isolé !

Ainsi nous fonctionnons de manière réciproque !

Alors le monde devient biaisé par notre limitation, par notre séparation !

Si nous sommes ce tout petit être enfermé dans ce tout petit corps nous ne pouvons qu’etre faible, en danger, etc…

Tant que cette vision des choses nous assiège, nous sommes continuellement attaqué de toutes parts !

Car nous vivons ce que nous croyons !

Et nous nous croyons faible, impuissant, pris au piège, et bien c’est exactement ce qui se passe !

Nous nous sommes enfermé dans cette position inconfortable au plus bas des vibrations de tous les mondes !

Je dis bien tous les mondes car même si nous ne faisons que l’expérience d’une partie de ce petit monde, comme tout est uni, nous pouvons surfer sur ces vagues pour nous rehausser vers d’autres plans vibrationnelle !

Comme tout est vibration, nous avons la possibilité d’atteindre ces vibrations haute en fréquence et ainsi nous ouvrir de notre propre enfermement !

Tous est possible, tout est faisable, seul notre tête nous en empêche !

Toutes les matrices mental sont là pour nous enfermez nous-même !

Car vous avez tout pouvoir, car vous êtes tout déjà, c’est juste que vous l’avez oublié, et toutes vos croyances vous sont jetez à la figure pour que vous compreniez que ce n’est que vous même qui vous affronte !

Tout est en vous, tout n’attend que vous, car il n’y a quand vous que le chemin peut s’ouvrir vers de meilleur lendemain !

Surfer sur toutes ces fréquences négatives, ne vous laissé plus submergé par cette océan négatif !

Car vous êtes cet océan même si pour l’instant vous vous arrêtez juste a la conscience d’une vague !

Et pour finir, je vous laisse un texte tiré du livre : L’École des Dieux, Stefano elio d’Anna

« Chacun de tes gestes, chacune de tes pensées et de tes paroles montre que tu es prédisposé à la soumission.

En secret, tu espères échouer, tomber malade et cesser de lutter contre un monde prétendument hostile.

Comme des millions d’hommes, tu as repoussé hors de toi le combat.

C’est pour cette raison que tu te laisses aller à la défaite et que tu veux vieillir et mourir. Mais cela t’est déjà arrivé trop souvent et il est temps que cela cesse… à jamais !


« Un homme comme toi prépare ses tragédies dans les ténèbres de son inconscience, il tend des pièges, il renforce ses prisons, il façonne chacune de ses souffrances et de ses catastrophes, de ses adversités et de ses maladies avec tant d’habilité, tant de minutieuse attention au moindre détail qu’on pourrait dire qu’il le fait avec art. »


Selon le Rêveur, tous les obstacles que nous rencontrons sont la matérialisation de notre incompréhension. »

L’homme est sa compréhension. »

Un homme est conforme a son entendement et c’est cette concordance qui crée le monde qu’il mérite.

Comprendre, c’est augmenter la contenance de sa vision, se délester de quelques couches de rebuts. C’est un acte de volonté. La compréhension ne peut nous venir ni nous être imposée du dehors.


« Un homme ne doit pas chercher le paradis. Il n’y a rien qu’il puisse faire pour le mériter.


Ton seul devoir consiste à mettre fin à ton enfer, à ton incompréhension. »


Si, durant tout ce temps, le Rêveur ne m’avait pas formé et si je n’avais pas traversé un long apprentissage malgré mes hésitations et mes désobéissances, je n’aurais jamais pu assumer la responsabilité attaché à cette révélation.

Elle m’aurait réduite en miettes.

Je songeai à ce qui serait arrivé si la science officielle s’était approprié cette vérité : l’homme tel qu’il est est le seul artisan de ses tragédies ; elles naissent d’abord en lui, puis se matérialisent au-dehors.


Réaliser combien notre corps et notre univers personnel nous obéissent, se rendre compte combien est grande la force créatrice, bonne ou mauvaise, de la pensée, voilà qui serait, pour la société, un choc infiniment plus brutal que la découverte de Copernic.

Celle-ci repoussa l’homme aux marges de l’univers, hors du monde illusoire dont il croyait être le centre, et la vision du Rêveur bouleversera son destin en balayant son préjugé le plus profondément enraciné : la certitude qu’existe un monde extérieur qu’il peut inculper, un être ou une chose qu’il peut tenir pour responsable du perpétuel échec de sa vie.


« Le monde est tel qu’il est parce que tu es tel que tu es » : cette maxime, qui résume le mieux la philosophie du Rêveur est la quintessence de sa vision, renferme un concept propre à inverser la direction même de la vie – celle-ci n’a plus lieu du dehors au dedans, mais du dedans au dehors, comme il en va de toute guérison.


« Chaque transition est une victoire sur toi-même ! Des êtres monstrueux, des ennemies millénaires aussi terribles et illusoire que tes peurs gardent l’entrée des paliers supérieurs, des plus hauts échelons de l’existence. »


« Tu devras les affronter un jour. »


« Le monde est tel qu’il est parce qu’il est tel que tu es ! »


« L’homme est malheureux au milieu de la perfection et de l’abondance ; il regarde le monde avec des yeux de grenouille et déplore ce qu’il voit. »