« Nul ne peut prévaloir sur les autres !

« L’idée de prévalence sur autrui est une illusion, un préjugé de la vieille espèce humaine conflictuelle, prédatrice, perdante. »

« Ce que tu reçois comme un sentiment de mort est l’asphyxie d’une humanité qui mue, d’une espèce au bord du gouffre, contrainte de renoncer à ses superstitions, aux vieilles astuces qui ne fonctionnent plus. » Ces mots tracèrent dans l’espace l’épigraphe universelle de la condition humaine.

(…)
« Dés leur prime enfance, les hommes apprennent à vivre dans les zones les plus désertes de l’être. Si on leur met sous les yeux quelques chose de grandiose ou qui, simplement, excède les limites de leur vision, ils s’y opposent et tentent de l’amoindrir pour l’ajuster à la minuscule contenance de leur conscience. »
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« Le moment est venu d’entreprendre le voyage »

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« Devant les épreuves de la vie, tu n’as rien trouver de mieux jusqu’à présent que de t’étourdir de travail ou de chercher refuge dans le sexe, le sommeil ou un lit d’hôpital »
(…)

« Ployer sous le joug des événements désagréables et des malheurs, les prendre au sérieux, cela équivaux à renforcer une représentation tragique du monde et à en perpétuer les occurrences.

– Alors, qu’est-ce que j’aurais pu faire ?

– Si un homme accueille autrement ce qui lui arrive, ce changement d’attitude modifiera au fil du temps la nature même des événements auxquels il doit faire
face.

Visibila ex Invisibilus :Tout ce que nous voyons et touchons naît de l’invisible.