Transformation du monde subjectif, passage en zone « bisounours »


Hier brusquement, sans raison apparente, ma vision du monde s’est encore totalement modifiée (vers 15h20 tout était normal, et à15h21 tout s’était modifié).

Rien n’a changé dans un sens (tout est pareil), mais d’un seul coup, je suis passé d’un monde un peu insipide à un tas de glace a la vanille (la transformation ne concerne pas que la nature et la lumière cette fois-ci, elle inclut aussi les gens !).

D’un coup, comme ça,le monde est devenu « pastel » avec, en plus, un « goût » suave dans la perception que j’en ai (de manière métaphorique, mais j’ai cru changer de planète tellement c’était différent) et les buissons et les arbres sous la fenêtre de mon bureau brillaient comme des miroirs de bordel. 

Allez savoir…mais il me semble bien que d’un coup je me suis mis à basculer dans l’univers des « bisounours ».

C’est comme après mon éveil de kundalini sauf que tout est encore plus brillant et suave.

Les couleurs du monde (même le bleu ou le jaune pisseux des bagnoles !) provoquent une espèce de jouissance dans le cœur.

Étrange, étrange… 

Pas besoin de partir en voyage ou de s’enfuir d’ici, il suffit en fait de laisser la lumière transformer le monde subjectif elle-même.

C’est plutôt cool.Des croyances profondes sont en train de sauter depuis le début de la semaine (sur le causal).

Mais je n’en sais pas plus, et le processus est loin d’être fini.

Vu ce que la lumière balance sur moi en ce moment, cela ne m’étonne pas que ça bouge à fond.

Je crois que ma part qui est perpétuellement en fuite du monde a également sauté.

A partir du moment où l’on s’abandonne et que l’on est sans but, ça ne présente plus le moindre intérêt, de toute façon.

On change d’univers sans bouger et sans modifier aucun repère.

Il suffit de s’abandonner totalement en haut.

C’est le truc le plus cool qui me soit arrivé, et pourtant, des trucs il m’en arrive, vu comme j’use et abuse du double du futur pour provoquer des évolutions.

C’est comme si l’on percevait dans le monde spirituel mais avec le corps physique.

La lumière m’avait prévenu qu’ils allaient dé—constituer mon monde subjectif mais je ne pensais pas qu’il y aurait une escale chez les« bisounours ».

A la prochaine transformation si je lèche les bagnoles elles auront peut-être le gout de glace à la fraise, qui sait…