Hier, j’ai passé une bonne journée, avec une matinée plutôt poussive où se sont succédé les alternances habituelles concernant l’info du travail en cours, une souffrance puis une libération avec la lumière et ainsi de suite.
J’ai totalement changé ma manière de faire en m’en remettant en haut pour travailler sur moi, du coup, la lumière agit constamment sur moi au lieu d’essayer de contrôler l’énergie moi—même.
En prime, quelques trucs marrants, que j’écris pour le fun (ça vaut ce que ça vaut) comme une explication de ce qui était libéré, en étant toutefois exprimé pour qu’il me soit permis de le comprendre.
La violence :
(c’était une vision et des infos sans forme, j’explique ce que je peux…)
Cet aspect reconnecte le chaos primordial, au moment où les particules partent dans tous les sens sans savoir où est leur place.
Comme elles partent dans tous les sens, elles collisionnent les unes avec les autres, ça provoque des changements de caps et des transformations (puisque l’on ne peut pas détruire l’énergie, juste la transformer).
C’est-ce aspect qui se reconnecte quand on ne sait plus où se trouve sa place dans une situation/vie ou bien si l’on croit que quelque chose se tient à notre place.
Les égrégores se servent beaucoup de cet aspect contre nous.
La solution restant, comme toujours, de s’en remettre à l’univers.
Dans le chaos apparent, chaque particule va toujours là où elle doit aller et elle ne collisionne pas si elle laisse faire l’univers (sauf si cela provoque
une transformation salutaire qui peut la remettre sur orbite).
Il suffit simplement de s’en remettre à Dieu et comprendre que le plan
est parfait, dès lors rien de fâcheux ne peut arriver si l’on se laisse guider, tandis que si l’on suit son Ego, toutes les collisions dans le bordel du chaos primordial deviennent possibles.*
Le reptilien : (idem que pour la violence)
M’est venue l’image d’un Dieu serpent entouré de gardiens.
Les gardiens étant mi-homme / mi-reptile.
Ils remplissent leur rôle, qui sert à garder la kundalini enfermée à la base, et permettre la création du monde manifesté.
Ces gardiens n’ont rien de mauvais, sans eux nous n’existons pas, il est donc inutile de les diaboliser.
Il m’est également venu l’image du cercle de pierre.
La première et la dernière pierre sont connectées, Ia kundalini faisant la jonction entre les deux, ce qui signifie qu’elle se tient à la fois à l’origine et à la fin, et en même temps, pour rejoindre la première pierre, elle fait le tour de tout le champ de pierres qui symbolise l’illusion du monde manifesté.
C’est l’énergie primordiale de séparation et le peuple reptilien en est le gardien.
On reconnecte l’énergie primitive du gardien uniquement si on la renie et n’accepte pas son utilité (ce qui provoque les karmas de violence du premier chakra).
Quand les gardiens sont aimés et acceptés pour leur utilité, on comprend alors qu’ils sont des alliés, et de toute façon ils libèrent la kundalini à l’instant juste, quand le haut le demande.
Le soir, en allant faire mes courses, j’ai une nouvelle fois été bluffé par la puissance des couleurs, ayant même l’impression dans un magasin d’être devant une constante explosion de couleurs.
Au moment où je prenais du coca, une canette est tombée et m’a explosé
à la figure, j’ai été recouvert de coca de la tête aux pieds.
Il m’est venu un rire de joie que je n’avais jamais ressenti jusque-là.
Le rire le plus spontané et libre de toute ma vie, l’impression de me retrouver aspergé de coca la tête aux pieds alors que je ne m’y attendais
pas était le jeu le plus marrant auquel j’ai jamais joué.
Jamais je n’ai été aussi librement heureux et spontané, même pas à cinq ans.
Une dame qui me regardait en imaginant que j’allais partir en jurons, s’est mise à rire du même rire spontané et joyeux en voyant ma réaction.
La veille, j’aurais pesté, ou je me serais dit que mon tee-shirt était foutu, voire je me serais senti un peu con…
Mais la, plus rien, plus de honte, plus de blocage, plus que de la joie spontanée.
Le pied total. En haut, ils m’ont dit que c’était juste pour me montrer le
résultat du boulot de la journée.
A l’évidence, clairement plus efficace quand je laisse la lumière me transformer sans m’en soucier.
Le soir, j’ai essayé de chercher pourquoi la souffrance avait lieu au moment de la libération.
A priori, ceci est lié au mental.
Nous avons tous la même problématique, et pour nous mentir sur l’état de notre monde, nous laissons le mental s’emparer de tout.
Quand nous sommes enfant nous voyons bien que rien ne va, mais l’éducation nous force a le taire, ce que j’ai déjà expliqué.
On crée alors la rigidité mentale pour être d’accord avec les parents et ne pas perdre leur amour.
Cette rigidité peut-être dé—constituée en virant les croyances profondes sur le père.
Dès que cette rigidité a sauté, il n’est plus nécessaire de saisir les karmas, et la lumière peut les transformer directement.
Du coup, maintenant, elle me raconte juste ce qu’elle fait et me procure un état de jouissance léger et permanent.
Par moments, existent des pics de joie et de jouissance, puis cela redevient un « simple »bien être constant.
Ce matin le travail se fait sur le sacré et la liberté. (Chakra 2 !)
Cette peur là est la mère de pratiquement toutes nos peurs.
C’est elle qui a fait que nous avons remis notre pouvoir entre les mains
des égrégores.
Tout le monde l’exprime constamment et partout en ce moment.
L’autre étant perçu comme un électron libre capable de nous percuter à tout moment et prendre notre place à chaque instant.
Bien sûr, ce n’est pas conscient chez les gens, mais c’est exprimé dans chaque acte du quotidien, aussi anodin soit-il.