Il y a plusieurs définitions à ce mot « parasite » et l’une d’elle, mentionnée dans le dictionnaire Larousse, me semble très bien définir de quoi il s’agit ici.
« Le parasite est celui qui vit aux dépens d’un groupe ou empêche son fonctionnement en s’y intégrant en parasite. »
Nous sommes souvent enclins à penser que nos problèmes sont dus à des facteurs extérieurs à nous.
C’est une façon générale de se dédouaner de tout ce que nous sommes capables de faire, la plupart du temps inconsciemment, pour générer les difficultés qui sont les nôtres.
Aujourd’hui cependant, nous commençons à accepter le fait que nous sommes créateurs…
Créateurs de ce que nous attirons à nous, qu’il s’agisse d’événements agréables ou au contraire de ceux que l’on préférerait ne jamais rencontrer.
Nos Formes-Pensées (FP) agissent comme des aimants et attirent à nous ce qui correspond à ce que nous émettons, que ce soit en pensée, en actes, ou en paroles.
Nous nous apercevons ainsi que ce n’est pas telle ou telle autre personne qui nous rend la vie infernale mais, que nous attirons à nous une personne ou un événement en fonction des Formes Pensées dont nous avons été les créateurs.
Il est bien entendu, plus confortable de penser que l’extérieur est responsable de notre mal-être ou même de nos maladies mais, tant que nous n’accepterons pas l’entière responsabilité de notre vie, il nous sera difficile de retrouver la liberté et la puissance, qui conjointement à la Lumière, sont en nous depuis toujours, et ne demandent qu’à s’exprimer.
À présent, nous allons voir un autre phénomène poindre à l’horizon qui est celui de considérer les divers sorts et parasitages comme responsables de nos difficultés et de nos incompétences.
Les sorts, les envoûtements, la magie noire, les entités des mondes invisibles, les parasites psychiques et autres ont toujours existé et je ne vais pas nier leur réalité.
Pourtant, là encore, il est important de prendre du recul et d’avoir suffisamment de données pour ne pas rentrer dans les pièges de l’ego qui cherche toujours un responsable extérieur à son mal-être.
J’entends souvent ces phrases :
« Je suis bloqué dans mon avance, rien ne réussit, j’en arrive à croire que je suis parasité. »
Mieux nous connaître permet de mieux faire face à ce qui jusqu’à présent en déstabilise plus d’un.
Nous donnons du pouvoir à ce que nous ne connaissons pas. Je vous propose donc, une nouvelle fois, d’ouvrir une autre porte de « l’Étrange » afin de découvrir que l’ennemi n’est pas là où nous le pensions car il repose le plus souvent en nous.
Nous allons donc aborder dans cette partie du livre les différentes sortes de parasites et de parasitages pour en arriver à ce qui nous perturbe le plus souvent : l’auto-parasitage.
Signes de la présence d’une entité
– Comportements compulsifs et irrationnels.
– Attirance pour ce qui est nocif : cultes sataniques, orgies.
– Mutilations : tatouages et opérations transformant la personne en un être diabolique (canines acérées – langue dédoublée).
– Vie dissolue qui nourrit ces entités.
– Impossibilité de méditer. La méditation contrarie l’entité qui ne supporte pas la Lumière.
– Empêchement à vivre une relation aimante (ce qui ne signifie pas que si vous n’arrivez pas à rencontrer l’amour, vous soyez parasité).
Influence d’une entité
– Elle prend de l’énergie chez son hôte.
– Elle l’entraîne dans des actes violents, des dépendances et des abus.
– Elle augmente, au-delà de la normale, les émotions de l’hôte qui l’accueille.
– En contrepartie, elle donne de l’importance à son hôte. Il nous est parfois arrivé de demander à une personne, sur une échelle de 0 à 10, de nous dire sur combien elle souhaitait réellement se séparer de l’entité.
Quelle ne fut pas notre surprise d’entendre 7 ou 8.
En effet, la personne ne se sent plus seule, elle peut aussi recevoir des messages et avoir un statut privilégié auprès des autres, elle
va à la recherche de celui qui va l’aider, et donc s’occuper d’elle.
Ses envies sont amplifiées mais aussi ses émotions. Elle se sent vivre avec intensité.
Regardons en nous quelle est la porte que nous avons ouverte à l’entité qui habite chez nous. Sans nous sentir coupables, nous en sommes quand même responsables.