En ce moment, je travaille sur mon côté obscur. Il me faut m’en débarrasser parce qu’il bloque l’accès au cœur (cône du dos de traviole, donc l’amour de soi-même).
A cause de lui, je ne peux pas l’ouvrir complètement, n’obtenant, au mieux, qu’une ouverture partielle et temporaire, et puis ça se referme au bout de quelques heures.
Or là, il s’agit d’allumer définitivement l’esprit divin en mon centre.
Affronter son côté obscur n’est vraiment pas une chose agréable.
D’abord, je suis mis en face de ma phobie des anges et des êtres du pôle de la lumière.
Ceci mérite une explication. La plupart du temps, je suis escorté par des êtres de la nature, ayant même été accompagné par des êtres qualifiés de maléfiques, pour la plupart des gens.
Entre autres un gnome des profondeurs, et un troll.
Pour faire court, à chaque fois que je croise quelqu’un depuis ma naissance, le gnome me souffle une réplique pour « défoncer » la personne (il est intarissable en répartie), et le troll fait bouillir la colère, en m’envoyant assez régulièrement des images pas très catholiques. Heureusement que je suis habitué depuis longtemps à vivre plusieurs réalités simultanément, en plus d’avoir une certaine protection à ce niveau.
Qui plus est, c’est une épreuve que j’ai plus ou moins remportée, et malgré la colère du troll, je n’ai jamais cédé à la violence qui bouillonnait en moi, parvenant toujours à la dévier sur autre chose, (arts martiaux ou jeux vidéo qui se sont révélés très efficaces).
La résolution du problème des phrases qui défoncent s’est faite en ne parlant pas !
Je pense que quiconque n’ayant pas ressenti la colère qui m’a habité a un moment, n’a pas idée de ce que peut-être la colère d’un troll. Une fois cette colère totalement résolue, j’ai pu laisser partir ces deux-là, et ce n’est pas plus mal.
Mais mon côté obscur va encore plus loin que ça (outre la vie de sorcier qui a été longue à résoudre). Entre autres, il existe une profonde culpabilité enfermée en moi, pour avoir servi le pôle de l’obscurité. J’en ai sorti une certaine phobie du pôle lumineux, qui ne m’a jamais quittée.
C’est pour cela qu’à part les esprits de la nature qui sont plutôt neutres, et avec lesquels je possède beaucoup d’affinités, ma fréquentation ne s’est pas tournée vers les esprits supérieurs avant d’être capable de me connecter au-delà de la dualité.
D’où le fait que je travaille avec des archanges (et encore,uniquement certains) et des saints d’un certain niveau (et surtout l’esprit divin).
Parce qu’il faut bien se dire que tous n’ont pas dépassé la dualité, et certains sont du pôle de la lumière.
Ceux-là, je les évite généralement. Non pas que j’aie quelque chose à en craindre, mais tout simplement une phobie d’une part de moi-même. Mais du coup, étant donné mon travail pour virer l’obscur, et le fait que j’attire à moi des peurs, ils m’ont foutu un ange* dans le dos.
Un type d’ange que je supporte très mal, mais force est de reconnaitre qu’il n’est pas méchant et qu’il m’aide, en vidant mon côté obscur non digéré.
Celui qui n’a jamais porté sur son dos une créature dont il a peur tout un après-midi peut difficilement avoir une idée de ce que ce signifie le fait d’attirer à soi les choses qui font peur, et c’est super lourd.
Une fois, ils m’ont collé un ange dans les reins quand j’avais mal, mais il était plutôt sympa, et celui-là ne m’a pas dérangé, il ne devait pas être du même genre.
En plus, j’ai été remis en moins d’une heure. Maintenant que j’y pense, j’en ai croisé quelques autres, mais qui se collaient rarement à moi, et ceux-là ne me gênaient donc pas. A un moment j’aimais bien les appeler pour renvoyer des entités. Cette phobie des anges et de la lumière est remontée en force en tout cas.
Au final, j’ai eu plusieurs débats politiquement incorrects avec un archange, lesquels n’ont pas besoin d’être approfondis ici, puisque chacun devra affronter cet aspect de lui-même s
’il veut accéder à la 5D,quant aux autres, eh bien, ce n’est pas important. Comprenez que nous alternons les vies dans un pôle et l’autre de la dualité, il n’existe aucune exception. Certains vivent bien leur côté obscur, apprennent les leçons et les laissent partir, d’autres n’arrivent pas à lâcher cet aspect et en ramènent un certain dégoût d’eux-mêmes. C’est mon cas. Il m’a fallu douze vies de victimes pour comprendre ma vie de sorcier. Il faut se dire que ce n’est pas une punition, mais juste moi qui ne comprenais absolument pas ce que c’était que d’être victime, et la raison pour laquelle on pouvait le devenir.
J’ai fini par capter (dans cette vie !) que la victime essaie d’exercer du pouvoir sur les autres. Se positionner en victime est une manière d’attirer l’attention de la mère et des autres en fait. Mais c’est une leçon qui a été très longue à comprendre. L’assassin, au final, ne fait rien d’autre qu’être mis en relation avec des victimes (en résumé, au niveau de l’âme, il rend service pour vivre l’expérience) et lui-même exprime sa peur et sa colère contre lui-même,dans sa violence envers les autres.
J’ai compris beaucoup de choses politiquement très incorrectes dont je ne parlerais pas ici, car n’oublions pas qu’en France, nous n’avons pas le droit de tout dire (ce n’est pas dans la constitution).
Respectons les règles après tout, chacun pourra en discuter librement avec qui de droit quand le temps sera venu pour lui.
Cette obscurité en nous, chacun devra l’affronter. Car celui qui ne la regarde pas en face a l’intérieur en la laissant s’en aller, devra l’affronter a l’extérieur !
En ce moment, nous sommes mis face à trois choix :1)
Entrer dans la 5D, donc dépasser la dualité.
2) Rester dans la 4D et la dualité.
3) Rester dans la 30.Prendre l’option 1) c’est regarder son côté obscur en face, etre transformer les énergies (donc lâcher la peur). Du coup, on peut réintégrer les deux pôles en une énergie de lumière originelle créatrice qui est notre vraie nature.
Prendre l’option 2) c’est jouer les saints (pôle lumineux) qui jugent et condamnent les autres, et affronter forcément son côté obscur à l’extérieur !Prendre l’option 3) c’est rester à fond dans la matière et ne se soucier de rien d’autre.