Lors du stage de géobiologie, nous nous sommes rendus sur plusieurs lieux dans le but de connecter différents esprits ainsi que des énergies de diverses natures.
L’un de ces lieux était une minuscule église avec un cimetière devant.
A l’entrée de l’église on trouve un « carré magique », c’est à dire une construction énergétique faite avec des lignes du réseau terrestre permettant d’identifier un lieu de guérison.
Il arrive parfois que ce carré soit matérialisé par un dessin sur le sol laissé par les bâtisseurs, mais dans cet exemple précis ce n’était pas le cas.
Sa fonction était de permettre aux « initiés » de l’ancien temps qui n’étaient pas clairvoyants de manifester leur intention au prés du gardien du lieu afin de bénéficier d’une guérison dans l’église.
Le gardien, qui dans le cas mentionné ci-dessus se trouve être un archange, n‘intervient pas contre le libre-arbitre, mais uniquement si on le lui demande.
Pour un clairvoyant, il s’avère plus simple de s’entendre directement avec lui. Lorsque ce n’était pas le cas, la personne parcourait le « carré magique » avant d’entrer, pour signifier son accord. A l’intérieur de l’église, entre autres étrangetés, on trouve une statue de Marie enceinte, portant une ancre à la main !
Alors que, vu la région, on est plutôt loin de Ia mer…vraiment étonnant. En fait, cette statue permet d’indiquer que le lieu de guérison travaille sur l’ancrage à la terre et l’incarnation.
Malins les bâtisseurs du passé non ?
On trouve également un vortex juste derrière l’autel.
Si le gardien est d’accord, il se positionne à distance pour activer le lieu, et la, entre l’archange et le vortex apparait alors un cercle de guérison.
On peut aller s’y tenir et demander un travail sur soi, cela varie suivant les besoins de chacun.
Chacun est passé à tour de rôle sur le point.
Les lieux de guérisons respectent souvent un schéma proche, mais ces constructions sont plus complexes encore, avec des tubes éthériques issus de lieux sacrés parfois fort lointains pour les alimenter,un vrai travail de plomberie éthérique.
On peut également trouver des points de travail spécifiques sur l’ancrage ou l’évolution, ou bien encore différents gardiens capables de réaliser diverses aides.
Dans une église par exemple, il se trouvait une émanation de Pan, laquelle intervient pendant les baptêmes pour finir les incarnations des enfants (il travaille sur le premier et surtout le deuxième chakra).
Beaucoup d’églises contiennent également des non terrestres, capables d’aider au rétablissement de diverses connexions.
Ces endroits contiennent un mélange des anciens habitants du lieu de culte (celte ou plus ancien encore) qui ont précédé l’apparition de l’église. Généralement ils n’ont eu aucune raison de bouger à leur niveau dimensionnel, mais ils contiennent également les constructions plus ou moins complexes de tuyauterie éthérique des bâtisseurs, et celles-là sont indiquées au niveau des sculptures et des vitraux.
Parfois, certains tuyaux éthériques parasites ont été collés au milieu et partent alimenter un manoir suspect dans la région…œuvre de dérivation d’un sorcier qui s’est amusé à détourner un peu d’énergie du lieu sacré pour un usage personnel.
Dans ce genre de cas, mieux vaut éviter de se mêler de ces choses-là, à moins de savoir ce que l’on fait. Certaines énergies peu « lumineuses » peuvent être encore actives, même après des milliers d’années.
Un des endroits les plus étranges qui m’ait marqué, reste un chemin de croix situé dans un jardin en pleine campagne, non loin de cette église.
Apparemment, quelqu’un est allé faire un pèlerinage à Lourdes il y a soixante-dix ans, et en est revenu exaucé.
Du coup,en remerciement, il a créé un chemin de croix dans son jardin.
Le lieu étant accessible, nous sommes allés y faire un tour.
Comme à mon habitude, je procède en balayant la zone avec la main pour repérer les énergies qui m’intéressent.
Une d’entre elles se tient près de l’entrée, au début du chemin de croix. J’échange donc avec elle, et ce qui me vient immédiatement est « rédemption ».
Étant donné que le passage dans l’église juste auparavant a fait ressortir en force mon côté obscur, on peut dire que cet endroit était parfait.
Sur ce chemin, il y avait deux points assez marquants (que je n’ai-même pas repérés, en plus, parce que refoulés pour moi, mais qui m’ont été indiqués par Jean-Pierre, le géobiologue).
Un point d’évolution spécifique pour les esprits de la nature, comme une espèce de tube ascensionnel avec une énergie lumineuse d’évolution.
Le passage a cet endroit a débloqué quelques tubes du coronal.
Un autre point était situé juste en face de la statue de la crucifixion, un point négatif pour les humains (imaginez un tube qui aspire par le bas), mais qui, en fait, libère de la culpabilité et des anciennes énergies devenues inutiles.
Assez étonnant à essayer, mais qui tombait à point nommé.
Ce point de libération est apparu à la création du lieu, bien que cet endroit n’ait pas été construit en fonction de lui, car en fait c’est la foi du bâtisseur qui a créé son apparition !
Et il est bien un point d’évolution qu’aucun humain n’aurait pu créer par lui-même.
On trouve à nouveau la signature de l’esprit divin.
Est-ce le lieu qui a été construit sur un point sacré, ou est-ce la création du lieu qui a créé le point sacré ?
Les deux en même temps créés dans l’éternel moment présent avec toutes les correspondances dans le passé et le futur.
C’est ainsi que l’esprit divin crée, dans tous les espace-temps simultanément.