Tes rêves sont le maillage, la matrice qui peu à peu t’orientent dans la découverte de qui tu es !
Ils n’utilisent rien de connu, et surtout rien de superflu !
Ils sont, les rêves, la sève de nos vies, alimentant chaque nuit de son essence qui par son parfum nous pousse au dépassement de nos visions étriquées, mouvementées, dépassées !
Tout en étant le balisage, le repère, le chemin de toutes ces choses avenir !
Es-tu prête à suivre l’inconnu, le saugrenu, le décalé, le divergent, l’inusité, tout ce qui en toi te dégoute ?
Vois-tu, tout le mauvais côté de la chose qui pour toi t’insupporte et en même temps frappe à ta porte, le soir quand tu déposes les armes de toute ta haute conscience, sont là exprès !!!
Ta structure, ce que tu es devenu, cache en elle des méandres inextricables qui te reviennent dans tes songes pour que tu puisses comprendre comment tu fonctionnes.
Et la fonction dans tout ça et de te comprendre toi-même !
Mais pour comprendre, donc assimiler, il faut digérer, et aussi déféquer, c’est-à-dire laisser tout ce qui est inutile !
Vois-tu j’utilise la symbolique de tes rêves comme d’un chemin de compréhension pour faire de ce passage, le pas, le chemin qui t’emmène vers le sage en toi !
Tout est image, métaphore de la fleur qui en toi n’attend qu’une chose, d’éclore.
Mais pour éclore, il faut sortir de l’enclos qui t’as permis de pouvoir être, dans son expression la plus pur, la plus poussive, et la comprend bien le sens des mots, pousser à l’ extrême pour vivre intensément !
En conséquence, cette forme d’expression est devenue la limite qui t’empêche de t’ouvrir à qui tu es vraiment.
Tout tes rêves ne parlent que de ça, ainsi tu trouves toujours de nouvelles pièces comme de nouvelles expressions, et tout est toi en tes rêves !
Mais es-tu capables d’accepter tous ces côtés, rejeté, mauvais, noir, sombre, inutile…
Voilà tout le nœud du problème !!!
Ils sont ce qui fait que tout est divisé, noir & blanc, bon & mauvais, jour & nuit, male & femelle.
Et tu entrevois que la division n’existe que dans ta façon de voir les choses.
Ils sont le prisme qui t’empêche d’être qui tu es !
Ecoute voici l’histoire de ce que le chaos exprime :
Du fin fond des âges, par de-là les commencements et les fins, il y a toujours eu le chaos, seul, indéterminé, mal aimé même, car toujours incompris !
Pourtant au-delà de toute conception il reste la balise intemporelle de toute origine car il est le commencement par qui la fin a pu organiser la possibilité du vivant !!!
Je sais, c’est une phrase bien compliqué !
Alors écoute ce que le vent me donne, passerelle de l’infini qui se pose.
Il eut un temps ou tout n’était pas, car tout était dans tous les sens, incompréhension total de tous et de tout.
Dans ce faux fuyant tout était juste sans être, sans but, sans ordre, tout se confronté, se bataillé, s’entredéchiré, c’était vraiment le chaos dans tous les sens.
Mais le chaos était le germe de la possibilité du Cosmos, de l’ordre, de la lumière qui éclairant l’incompréhension, donné la possibilité de comprendre, et ainsi de rendre claire l’obscurité inhérente au début des âges, au début de chaque quête.
L’enquête se tourne, se détourne, et s’ouvre à la compréhension du mobile du chaos : être ce qui n’est pas pour donner la possibilité à ce qui vient en toute lumière, en toute compréhension, en toute conscience !
Le Chaos est le père et la mère de la vie !
Cette histoire est pour toi, fille du Chaos, tout te montre qui tu es, tu es la vie, juste la vie, peu importe les vestures, les déguisements, les choses ajoutés, tu es la vie, et tout dans ta vie ne cherche qu’à te montrer juste que tu es la vie, alors VIE !!!