Terre Inconnu
Chère ami, bienvenu en ce lieu, ici tout est préparé pour te recevoir à nouveau, peu importe de là ou tu viens, peu importe ce que tu portes en toi comme sur toi, peu importe ce que tu crois !
Car tu as déjà tout en toi pour t’éveiller à ce que tu es vraiment !
Moi, ce livre, je suis juste un miroir, ton miroir pour te révéler a toi-même !
Tu as depuis si longtemps oublié qui tu es !
Ma personne, ma forme et ainsi ce que je suis, n’a pas d’importance, ce qui est important est dans les sens de ce qui se donne !
Je vais peu à peu, te montrer des chemins et des histoires, qui n’appartient qu’à toi-même de suivre ou d’y croire, mais avant tout, tu dois bien comprendre toute la profondeur de ce que je te transmets !
Ce passage remplit de lettres est tel un escalier qui marche après marche te redonnera la souvenance de qui tu es vraiment.
Pour l’instant dans ce monde, inconnu, à la terre aride, tu marches comme tu peux, tu vis, survis même avec tous les moyens du bord, ainsi tout se passe sans trop savoir ni comment, ni pourquoi !
Mais tu te débrouilles déjà très bien, seulement en toi, tu sens, pressens qu’il manque quelque chose et tu ne sais pas quoi !
Qu’il y a un problème, et ce problème tu le vois éclater chez tous les autres, le monde, la société.
Mais sache que le problème, à tout ce que tu vis ne réside ni en eux, ni en ce monde, mais a …
Pour l’instant je ne peux te répondre à ça, car pour toi cela serait incompréhensible, inacceptable car inadmissible.
Alors je vais prendre du temps, et un peu d’espace pour la mise en lumière de ce livre afin de te donner le moyen pour que tu puisses allumer ton propre feu intérieur qui sera ton guide en ce monde et ta voix en ton être.
Tu as en toi tout ce qui faut pour que tu sois heureux, hélas pour l’instant tout en toi se fractionnent, et déraisonnent de ne rien comprendre aux autres, au monde et le pire à toi.
C’est normal, si on peut dire, c’est naturel, tu sais tellement de chose qui ne te serve pas à grand-chose, tandis que tout ce qui pourrais te servir tu en es totalement inconscient.
Voilà tout le but de ce livre, te rendre conscient aux choses nécessaire, vital même pour la bonne compréhension de qui tu es !
Sans cette connaissance, tu restes ballotter dans le flux de ce monde impétueux et troublant, et trop souvent tu perds pied en te noyant profondément dans les abysses du mal être, dans ce tourbillon de peur et d’angoisse, de stress et de terreur.
Mise au point
Pour commencer, il me faut te faire une mise au point, car tout par de là, il faut que tu fasses bien la différence entre ce qui t’es utile, nécessaire, et le reste.
Pour l’instant tu ne vois pas trop qu’elle importance il y a de le faire mais au fur à mesure que tu comprendras les marches que tu entreprends tu sauras toute la véracité de cela.
Tu t’abreuves en ce monde de toute l’information qui coule dans un flot qui jamais ne s’arrête, il y a en tellement que tu ne sais quoi en faire.
Cette information est-elle utile ? Nécessaire ? Vital ?
Je te pose la question, à toi ?
Qu’en fais-tu ?
Qu’elle intérêt tu en trouves ?
Et poses toi alors deux questions, est-ce l’information qui te trouve, ou est-ce toi qui trouve l’information ?
Si c’est l’information qui te trouve, tu t’ouvres en grand a quelque chose que tu ne cherches pas, et en cela tu suis les choses, juste parce qu’elles sont là !
Ici, c’est le summum de l’inconscience, tu fais, sans savoir ni pourquoi, ni comment, tu fais juste parce qu’on te dit de le faire !
Par contre si c’est toi qui trouve l’information, déjà tu es un peu moins pris par l’engrenage de ton inconscience, mais ces infos sont-elles utile pour toi quand même ?
T’apporte-t-elle bien être, sérénité, compréhension en la profondeur de ton être ?
Voilà ou je veux en venir, de ces deux façons de chercher l’info, en fin de compte aucune des deux n’est utile, ni même utilisable au bien être de ta vie !
Elles sont juste des préoccupations journalière qui te remplissent de tout et n’importe quoi !
Il faut déjà prendre bien conscience, que plus l’on se rempli de chose inutile, moins il y a de place pour recevoir une possible information utile !
Toute l’étendue de la mise au point réside là, de l’importance de l’utile et de la prise de conscience de l’inutile !
Tant que tu seras plein, tu ne pourras t’ouvrir simplement à qui tu es !
Comment veux-tu mettre de l’eau bien fraîche si ce verre est rempli tous les jours de toutes sortes de boissons chimique ?
Comment peux-tu voir à l’intérieur de ce verre, rien ne peut le filtrer, même pas la lumière ne peut la traversé, c’est le siège de l’opaque, du condensé et ne ,sachant bien sur ce qu’il y a, à l’intérieur !
Je te propose de vider ce verre de tout ce qu’il contient, de ne plus le remplir tous les jours de choses dont tu ne connais ni la provenance ni sa contenance !
De laver ce verre aussi tous les jours pour y recevoir de l’eau pure, fraîche, naturel, et qu’enfin tu puisses y voir tout son intérieur, car toute les solutions sont là dans l’intérieur de ce verre !
Tout ce que tu ne sais pas !
Pour bien comprendre, il te faut savoir que tu ne sais rien !
Car tant que tu croiras que tu sais, tu chercheras toujours à avoir raison de ce que tu sais déjà !
Donc tu ne pourras t’ouvrir à d’autres façons de voir, car tout est dans la façon de voir les choses.
Tout ce que tu sais te sert à structurer cette manière d’entrevoir !
Car tu ne fais qu’entrevoir, tu ne vois qu’entre ce que tu sais, imagine, et l’extérieur qui s’habille du prisme de ta vision !
Pour bien intégrer ce processus, il va falloir aller doucement mais sûrement, car je comprends que cela ait l’air bien compliqué pour pouvoir l’intégrer de suite !
Premièrement tout ce que tu as appris t’est complément inutile pour la bonne compréhension de toi-même !
Comprend bien, ce qui est écrit, il y a plein de choses qui te servent pour tous les jours, pour ton travail, pour tes relations, etc…
Par contre, tout ce que tu sais sur toi-même est biaisé, faussé, ignoré, car tu n’as jamais su que tu devais apprendre des choses sur toi-même afin d’être plus à l’aise et trouver peut être la paix en ton for intérieur!
Et c’est pour cela que tu lis ces lignes, pour qu’elles t’amènent peu à peu sur la route de ta reconnaissance et de ta future aisance !
Alors pourquoi dans tout ce que tu sais, tout est inutile ?
Là est toujours la question, utile ou inutile pour toi, tout le reste est du blablas qui ne sert qu’à te faire tourner en rond !
Prendre conscience que tout ce que tu sais sur toi-même est inutile est la première porte que tu puisses ouvrir pour découvrir ton monde intérieur.
Car comprend bien, et je le répète, l’important, l’utile est là à l’intérieur de toi et tant que tu n’en prends pas conscience il reste inconscient à toi et donc tout ce passe sans savoir ni pourquoi, ni comment !
Cela est très important, tous les mécanismes qui gouvernent t’as vie sont inconscient, c’est-à-dire qu’il dépasse de loin pour l’instant sa possible ouverture, sa possible compréhension.
Tant qu’ils sont dans les profondeurs de ta psyché, l’île de ta conscience ne peut comprendre pourquoi son volcan éclate maintenant, ni pourquoi tous les ans il y a un tremblement de terre qui détruit tout sur son passage !
Tant que tes pas t’amènent juste sur les routes et les chemins de tes habitudes, tu n’y trouveras rien d’autres que ce que tu sais déjà !
Tu auras beau regarder tous les soirs ce magnifique coucher de soleil, tout restera noir, sombre, incompréhensible comme cette nuit qui vient sans cesse, toujours après !
C’est pour cela, qu’il faut que tu dépasses ça, cet état d’inconscience viral !
En toi il y a ce virus, il est là, maître de ton être, et tant que tu ne sais pas qu’il est là, tu ne peux rien faire d’autre que d’être sous son emprise.
Mais maintenant que tu le sais là, en toi, que vas-tu faire ?
Ce chemin t’appartient, mais comprend qu’il n’y a que toi qu’il peut l’entreprendre, personne ne le fera à ta place.
Que le but de te connaître est de ne plus être l’esclave de ton inconscience.
Sache que ta véritable liberté et de tout remettre en question, même ce qui est écrit ici.
Car tout doit passer par le prisme de ta critique, car ainsi tu te feras tes propres idées et non plus parce que cela est écrit au journal, sur internet ou que cela passe au journal télévisé.
Quand tu le sais !
Quand tu sais qu’en toi, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond…
Tu commences par te poser des questions !
Et tu te rends compte, que tout ce que tu croyais savoir sur toi-même est complètement faux, car inutile a bien comprendre ce qui ne vas pas en toi !
Alors, tu cherches de nouvelles informations sur les processus qui sont en cours en toi-même.
Ces processus, sont pour l’instant inconscient, ils agissent en toi, ils sont ce qui te conditionne à avoir inlassablement les mêmes réactions envers autrui et surtout envers toi-même.
Se sont pour ainsi dire des contraintes qui ont intégré ta structure au fur à mesure de ton éducation.
Ton éducation ne provient pas que de tes parents, il est le fruit du maillage entre tous les individus que tu as rencontré et qui t’ont aidé un temps à apprendre ce qu’il savait.
Tu as reçus exactement ce que tu avais besoin de recevoir pour vivre dans ce monde, mais hélas rien pour vivre dans ton propre monde.
Ce monde tu n’en avais même pas conscience, il était là, il était et il est l’origine même de ton être.
Il est une partie, et cette partie-là, fait toute la différence car tout se passe la dedans !
A l’intérieur de toi, même si tu ne le comprends pas pour l’instant, il y a tout un monde qui est bien en dessous de toutes tes structures mentales.
C’est-à-dire, qu’il y a un siège, une base, avant toute ta construction mentale.
C’est de la que provient tout le flux, l’élan vital qui t’alimente, énergie vivante qui provient des profondeurs de ton être.
Ce jet initial, à fabriquer le sujet que tu es, a mis en oeuvre tes projets pour te pousser à avancer et finalement t’entraîne dans son rejet pour enfin pouvoir le découvrir dans tous l’éclatements des objets qui t’entourent.
Mais avant d’en arriver à comprendre que tout est projeté de ce jet initial, il faut préalablement intégrer qu’à l’intérieur il y a bien plus que tu ne l’imagines.
Tellement plus, que ce que tu vois à l’extérieur n’est que le sommet de l’iceberg.
Vois-tu il faut descendre à l’intérieur de toi pour trouver de nouvelles informations.
Car les informations que tu cherches sont en toi ! Je sais que cela parait bizarre, étrange mais pourtant tout, vraiment tout se trouve en toi.
Tout ce que tu cherches à l’extérieur n’est que la projection de ce que tu ne sais pas encore sur toi-même mais qui est là, déjà en toi.
Le monde est un miroir, et il ne projette que ce qu’il y a déjà en toi, rien d’autre.
Mais pour l’instant tu ne vois aucun miroir, tu ne vois que le monde de tous les jours.
Ce monde que tu ne comprends pas, ce monde qui te violente sans cesse !
Qu’elle folie que de vivre ici, à cette époque !
La descente en eau trouble
Je te propose de descendre dans les eaux troubles de ton inconscience, pour cela il faut d’abord faire le tour de ton navire pour savoir si il ne va prendre l’eau, ou pire le large, au moment où les profondeurs s’ouvriront !
Ton bateau représente ta conscience, il est ce qui te porte et te protège des assauts du mauvais temps.
Ce temps est celui qui t’assiège depuis bien longtemps à chercher toujours quelque chose qui te manque !
Vois-tu, ton bateau ne trouve jamais de port assez bien pour lui, il part toujours au large à la recherche de ce temps perdu.
Ce mauvais temps, ce temps perdu, ce malheur qui toujours frappe à la porte de ton havre de paix, est une des raisons pour que tu descendes dans ces abysses car il est la matrice même de ce que tu vis !
Il est important de savoir que ta conscience et ton inconscience sont ce qui te constituent, ils sont la matière de ton être, sans eux tu ne pourrais exister en ce monde.
Et dans ton monde, tout ce que tu vois n’est qu’une partie de la totalité de ce que tu es !
En ton monde, il n’y a qu’une chose toi, mais comme plein de partie de toi sont encore inconsciente, elles existent sans ta conscience, ainsi tu es pour l’instant qu’une partie fragmenté de ta totalité !
Le voyage que je te propose, est de partir à l’aventure pour retrouver toutes les parties de toi que tu ne connais pas car sans toutes ces parties tu ne pourras tout simplement pas te connaître en totalité, et donc rester avec des parties inconsciente qui continueraient à faire des choses en toi qui te dépasse et te déplaise.
Je comprends que tout cela est déroutant, et c’est le but…
Mettre de côté ta route habituelle, pour qu’enfin tu trouves ton propre chemin dans les méandres de ton monde intérieur.
Avant de prendre le large, prend du temps et de l’espace !
Pour que tu puisses intégrer une nouvelle perspective et ainsi t’ouvrir plus de possibilité pour mieux entreprendre ton périple.
Ta conscience peu avoir peur du nouveau, peu avoir peur des sentiers battus, peu aussi et surtout avoir peur du changement !
Quand tu sens que les choses vont trop vites, il vaut mieux que tu ralentisses et que tu te questionnes, vraiment, intérieurement : que veux-tu vraiment ?
Veux-tu chercher toute ta vie des excuses ou tout mettre en oeuvre pour trouver un moyen ?
Un moyen pour trouver une solution a tous tes problèmes journaliers !
Et ainsi comprendre pour t’éveiller de ce cauchemar qui depuis trop longtemps dur en ta vie.
Le changement est toujours compliqué au départ, tu peux peut-être avoir l’impression que cela va impliquer trop de changement, tu verras aussi que dans tout ça il n’y a vraiment que du négatif à venir.
Vois-tu tout est fait pour que tu ne changes pas, et c’est totalement normal, car là où je te propose d’aller se trouve dans un autre plan de ta conscience !
Donc tout sera fait en toi pour que tu ne puisses continuer à lire ces lignes qui appel à l’union de toutes les parties de ton être.
Mais pour l’instant, la partie qui en prend conscience veut partir le plus loin possible !!!
Aucun problème, il te faudra un petit peu de temps, ou peut être beaucoup, qu’elle importance, tu reviendras si tu le souhaites.
Donc, voilà que tu veux vraiment affronter les éléments de ton monde pour que tu puisses afin savoir, pourquoi tu es comme ça !!!
Cette partie de toi a besoin de comprendre qu’elle n’est pas le tout, que pour l’instant elle est juste une création qui permet de mettre en forme le monde tel qu’elle le perçoit.
Cette forme est ta forme, mais elle est n’est pas optimum pour pouvoir affronter les profondeurs de ton être en totalité.
Elle ne transforme pas encore les choses de manière significative, elle ne fait que les interprété à la lueur de tes croyances.
Et cette interprétation est ton talon d’Achille car elle est inutile dans ta propre recherche intérieure.
Elle est ce qu’il t’empêche de voir les choses simplement, elle est une barrière même qui t’enferme et te fait totalement tourner en rond.
De cette manière, celui qui se retrouve enfermé a l’intérieure de lui-même, ne peut comprendre ce qui lui arrive, projetant sur le monde extérieur la folie qui l’entraîne toujours plus vite à tourner en rond.
Si personne ne vient lui exprimer ce qu’il vit, il s’enfermera de plus en plus dans son délire, croyant toujours qu’il a raison car c’est la seul chose qu’il lui reste !
Croire qu’il a raison, envers et contre tous !!!
LA TETE AU CARRE
Ici pour le besoin de ta bonne compréhension je vais t’exprimer le suc de ce qui gît en nous, je l’appel l’oeuvre spiral, mais peu d’importance à son nom, ce qui est important c’est ce qu’il représente !
Pour que l’oeuvre spiral apparaisse, il faut dépasser les oppositions qui ont tout d’abord une apparence extérieur, alors qu’en fin de compte elles sont toutes intérieurs !
Hélas tu es enfermé par ses oppositions même, comme emprisonné entre quatre mur, là où siège ton système qui est ta matière, duel, rationnel.
Pris au piège dans cette maison carré, tu ne peux voir qu’une parcelle, qu’un quart des choses qui s’offre à toi.
Car par ta position, au centre de ta demeure, tu ne peux voir qu’un seul angle de vue à la fois et ainsi s’oppose toujours ceux qui est derrière toi et même si tu te tournes, tu ne verras continuellement qu’un seul point de vue.
Dans ce tiraillement extrême, il n’y a pas de moyen pour sortir de ces points de vue !
Ton regard te garde étroitement lié, configuré, comme préprogrammé !
Tu te retrouves comme enfermer dans cette vision, pourtant tout ce que tu vois et imagines du monde n’est que ton propre système que tu projettes sur l’extérieur, sur les parois des murs de ta propre demeure.
Toute ta vie durant on t’a appris à voir les choses comme ça, à penser aussi comme ça, et pour toi il n’y a pas d’autre alternative, car tu ne sais qu’une chose, et cette chose c’est toi, telle que tu es et telle que tu te croix être.
Toutefois tout est basé sur ta propre histoire !
Ici commence tout le nœud du problème !
Et cette histoire te raconte ce que tu es, ce que tu crois, ce que sont les autres, le monde.
Tout dans ta vie a besoin de cette histoire, de cette voix qui te berce chaque instant sur le bien fondé de tout ce que tu voies !
Que serais-tu sans cette voie ?
Qui te parle chaque instant ?
Afin de savoir quoi croire, quoi écouter, quoi faire et surtout quoi être ?
Que serais-tu vraiment sans cette voix ?
Et d’abord qui est cette voix ?
Est-ce qu’elle t’appartient ?
Est-elle la source de ce que tu es ?
Sans aucun doute, bien sur, elle est la source de ton histoire, mais qu’elle est cette histoire ?
Qu’a t-elle à lui rapporté ?
Qu’elle est son rapport, son apport ?
Qu’attend t-elle en échange ?
Qu’elle est son but ?
Qu’elle est sa fin ?
Est-elle une histoire qui ouvre ou qui enferme ?
Est-elle utile ou inutile ?
Ces questions sont importantes car elle donne la possibilité de prendre conscience de ce qu’elle est !
Pour l’instant cette histoire n’ouvre rien, elle enferme plus qu’autre chose !
Pourtant tu suis cette voie aveuglement !
Qu’elle est se paradoxe, ce dilemme, ce non-sens ?
En effet, elle est ce qui t’enferme désespérément dans un système où tout est insensé, ou tout est sans intérêts, ou tout est divisé, ou tout est hiérarchisé, ou tout est imposé…
Cette histoire est l’histoire d’une maison carré ou tu t’ais laissé enfermé, sans le savoir, sans le voir, sans le comprendre, cette maison est faite des murs et briques de toutes les croyances qui se sont accumulé dans ton système de référence !
Et le pire, c’est que plus tu vis, plus tu ajoutes des briques et des murs qui étriquent de plus en plus ta vision !
Il ne peut y avoir de sortie possible avec cette façon de voir le monde car au contraire cette façon de percevoir le monde emmène peu a peu au désespoir, a la peur et la terreur de se sentir seul au monde, incompris, rejeté, aigri et malheureux !
Pourtant cette maison carré est le siège, la demeure de la majorité, il vive dehors enfermé dans leur propre système, sans possibilité de trouvé d’issu possible car ils ne le savent même pas !
Pourtant il existe toujours des issus, des moyens, des ponts là où les murs fleurissent à foison !
Et c’est le but de l’oeuvre spiral !
L’oeuvre spiral est la nature même qui se trouve en chacun, elle est le langage vivant et vibrant de la vie même, mais tant qu’on ne lui superpose pas pleins de choses dessus, l’oeuvre agit simplement, naturellement.
L’histoire qui te berces depuis ta tendre enfance, est cette couche déposé peu à peu qui empêche ta nature même de pouvoir s’exprimer.
Elle t’empêche de comprendre ta relation au monde et donc ta relation avec toi même.
Et ainsi redonner le sens de ton chemin pour sortir de cette maison hantée !!!
Mais pour cela il faut que tu comprennes tout le sens de ton histoire personnel, tout le sens de ce que peut être l’histoire en général et donc de ses différentes utilisations !
Tout est une histoire qui se raconte pour permettre de dormir debout !
Tant que tu es enfermé entre les quatre murs de ton système de croyance, tu dors, ainsi tu te retrouves totalement inconscient de tout le système qu’il y a en toi et qui t’utilise !
Tu dors ta vie, dans un train-train ou tu répètes inlassablement les mêmes choses, ou tu produis le plus souvent tout à l’identique, ainsi dans ton monde tout se ressemble, tout est automatisé, et l’automate en fin de compte c’est toi !
Mais tu ne le sais pas !
Car tu ne te vois pas !
Tu penses être ceci, être cela, tu penses, tu ne fais que pensé, mais être, tu ne peux l’être !
Cette pensé en toi, cette histoire en toi qui s’est élargie, qui s’est emboîté avec toutes les histoires que tu t’ai raconté toute ta vie, sont tes histoires, et en même temps la toile de ta prison !
Et pour mieux dire, ta propre tombe, hélas, si tu ne peux pas les dépasser !
Alors qu’elle est cette histoire, si puissante ?
L’histoire est juste une manière de voir les choses, afin de leur donnée une forme pour que tu puisses la comprendre, te l’assimiler, et qu’elle te permette de donner du sens à ce que tu fais, et surtout une raison d’être à qui tu es !
Être qui tu es, mais qui es-tu vraiment ???
Être qui tu es ou être ce que tu penses être !!!
Entre ces deux extrême il y a l’oeuvre spiral, qui peu à peu, de circumbulation, en révolution, t’emmène à retrouver qui tu es et non plus ce que tu pensait être, car c’est justement le fait de pensé être quelque chose qui t’empêche d’être tout simplement.
Ici dans cette maison carré tout est compliqué, car la pensé rationnel, pèse, soupèse le poids de son irréalité, et tout est fait pour être réel, concret !
De ce fait tout est difficile, lourd, pesant, fatiguant, c’est le règne de la lenteur et où l’on ne veut plus rien faire, car pourquoi faire ???
Il n’y a plus rien à faire, à comprendre, juste ce laissé aller !!
Mais aller où ???
Est-ce que tu sais là où va t’amener ce laissé aller ?
Si tu ne peux ni savoir qui tu es ni où tu vas, tu perds tout repère, et sans repère il n’y a plus de sens à aller sauf à aller nulle part !
Si plus rien n’a de sens, alors tu peux faire tout et n’importe quoi !!!
Ne serait-ce pas là où tu vas en définitive ???
Est-il raisonnable de pensé cela ???
Est-il si farfelu de le croire, ou même de simplement l’imaginer ???
Quand tu comprends qu’il y a un souci en toi, qu’est-ce que tu fais ?
Tu cherches, recherches !
Mais tu cherches quoi, quand tu ne sais même pas quoi chercher !!!
Tu en es encore plus perdu !!!
Longtemps tu trouveras des excuses pour t’empêcher d’aller outre !
Pourtant si tu t’accroches fermement à trouver un moyen, quelque chose se passera, qui dépasse l’entendement…
Des choses nouvelles t’arrivent, de manière au départ indirecte, puis discrète, ainsi des mots, des images s’enchaînent de plus en plus devant toi, sans raison, sans comprendre, ses mots et images percent peu à peu l’armature de ta maison.
Ainsi sans t’en apercevoir, tu laisses passer de nouveaux rayons de lumière qui donnent la possibilité à d’autres réflexions d’apparaître, germant ainsi d’autres points de vue.
Voir les choses différemment est bien souvent la porte ouverte à bien des solutions.
L’oeuvre spiral a pris place à l’intérieur de ta maison, de ton être, sans le savoir il sait ouvert une brèche a ton enfermement, et ton problème principal et bien c’était toi, ou du moins ce que tu te croyais être !
Mais pour l’instant tu ne sais toujours pas qui tu es, mais tu as trouvé un nouveau sens, un moyen, une voie pour ne plus être enfermé dans ce système de fou !!!
Ce sens, cette voie, ce point de vue te montre peu à peu à comprendre ton histoire, pourquoi tu es devenu comme ça, qu’est ce qui t’a amené à être si mal à l’aise, si malheureux, si mal au point !!!
Ainsi toute l’histoire que tu te racontais dans le creux de ta tête et qui paraissait si importante, s’en retrouve de moins en moins importante, car tu vois et tu sens que cette histoire est l’aliment même qui génère cette image factice que tu avais de ton monde.
Cette voix intérieur est le noeud de tous tes problèmes et aussi celui de toutes tes solutions avenir !
Elle est ce qui te berne, car tu la prends telle qu’elle, sans filtre et sans conscience !
Alors que tu as le choix de pouvoir soit l’écouter et la suivre soit de ne pas la prendre comme réel mais comme factice !
Cette prise de conscience de l’influence qu’a cette voix est primordiale !
Car elle est l’aliment de tous tes tourments, elle se base sur des histoires qui t’enferment et ainsi te fond tournée en rond et par là elles se trouvent être le summum de l’inutile.
A force de ne plus l’écouté, en étant en pleine conscience de tous ces stratagèmes, tu ne suis plus aveuglement cette voix, tu cherches à en trouver une autre et tant qu’a y être cette voix qu’elle te soit tienne et propre !
Cette voix qui apparemment ne t’est pas propre et pas tienne est en quelque sorte tout ce qui te dit mal, et qui s’entend mal ainsi, et donc ne peux te comprendre car elle reste inutile et t’empêche ainsi de t’ouvrir au dit utile !
Cette voix est le siège de la maladie, de la fausseté, car elle suggère toujours ce qui n’existe pas pour s’y perdre incessamment !
Tu peux l’appeler de différentes manières, tel que l’ego, l’ombre, l’inconscient, le mal, le diable, l’important est de bien comprendre son influence pour ne plus être sous son emprise.
Arriver ou tu en ais, tu commences a reculé, tu revis ton histoire à l’envers, comme pour mieux la déloger, et c’est bien le mots qui s’y prête pour cette fameuse maison au carré.
Tu enlèves ainsi brique après brique, mur après mur, croyance après croyance, système après système, tu prends de plus en plus conscience de qui tu es vraiment en comprenant ce que tu n’es plus.
Que toute cette histoire à dormir debout était vital pour que tu restes sous emprise, car c’est bien une prise d’inconscience total qui t’enfermer dans les plus folles histoires !
Ainsi la prise de conscience permet de t’ouvrir à un tout nouveau monde, inconnu bien sûr, mais un monde qui apporte du sens, qui donne du sens et ainsi permet de créer tes propres histoires qui sont pour le coup, constructive, utile, positive, ouverte à un dépassement perpétuel !
Partout où tu regardes, il n’y a que toi !
Avant de bien te comprendre, tu as besoin d’assimilé, des clefs de compréhension pour entrevoir tout le processus qui se passe en toi !
Pourtant tu ne peux voir en toi car tu ne voix que le monde extérieur !
Mais par ce monde tu ne sais pas encore que tu ne vois que toi partout, tout le temps !!!
Tu ne me crois pas, et je te comprends totalement !
Hélas, pour l’instant tu ne peux pas voir outre cela car tu crois tout le contraire, et tout ce que tu croix est exactement ce que tu vois.
Comprends tu que tes croyances sont le prisme qui te permet de donner une forme à ta propre vision, à ton propre regard.
Et tout ce que tu vois te renvoie exactement la validation de ce que tu crois !
Tant que tu resteras enfermé dans ton histoire que tu te répètes inlassablement tout sera fait pour que tu accrédites tes croyances et donc la façon dont tu imagines le monde.
Qu’est ce qui apporte le plus de solidité à ton monde, si ce n’est tes croyances !
Est qu’est ce qui apporte le plus de stabilité à tes croyances si ce n’est tes pensées !
Tout en toi repose sur ça, tes croyances et tes pensées, elles sont le socle de ta réalité, la forme dont tu vois le monde est l’exacte reflet de comment le monde te voit, te vit !
Tout est reflet, tout est miroir, tout en toi est la matière même de ce que tu vis dans ce monde !
Plus tu comprends l’importance de comment tu vois les choses, de comment tu juges les autres et de tous les processus en toi que tu répètes automatiquement, t’entraîne dans les rouages de ce qui te dépasse.
Plus tu te comprends, plus tu te rends compte que tu es pris au piège entre tes croyances dévalorisante, négative et par le flot continu de toutes ces pensées qui t’assiègent totalement !
Plus tu t’ouvres !!!
Alors comment faire pour dépasser cet état de chose, cet état d’être !
Être en est l’idée mais tu ne le perçois pas encore tel qu’il est.
Tu te perçois tellement de manière déformer que tout ton monde est difforme, comme rempli de tous ces zombis et morts vivant que la télé projette.
Tout est mort, sans trace de vie, sans consistance, reste seul l’absence, l’absence de tout repère, et donc de tout sens.
Sans sens, tu ne peux intégrer les choses en toi, sans sens tu ne peux t’ouvrir a de possible solution, sans sens tu te fermes a tout et donc à toi.
Ce sens, il va falloir que tu te battes pour le retrouver, te le réapproprier, il est ton unique voie de sortie dans ce labyrinthe de fou.
Il y a en toi l’essentiel, est ceci est le fil qu’il va te falloir retrouver, dénouer !
Pour le trouver il va te falloir t’asseoir sur toi même, sur tes croyances et surtout sur ce flot insensé de toutes tes pensées.
Ainsi de tout ton poids tu pourras en tirer tout le jus de ton être, toute l’essence de ce qui te fais avancer, ou plutôt tourner en rond.
Car il y a deux voies devant toi comme en toi, celle que tu entends et celle que tu suis !
Ceci est la base, ceci est important, car tant que ceci n’est pas compris tout le reste ne peux s’entreprendre !
Il y a deux voies, celle de la multitude et celle de l’unité de toi !
La première voie est le siège du multiple, tout en toi est ouvert à toutes voix Possibles, juste par résonance.
Et ce que tu croix est le diapason, la chaîne qui t’ouvre le flot de toutes ces émissions, plus tu y croix, plus cette chaîne et ta chaîne de prédilection.
Il y a différentes chaînes qui s’ouvrent à toi, ces chaînes une fois allumées t’envoient inlassablement leur programme.
Ces programmes sont les pensées qui te viennent et que tu prends pour les tiennes mais elle ne te sont pas propre !
Elles ont besoin de toi pour exister, chaque chaîne a besoin d’être vue pour être alimenter de ton énergie, de ton attention.
Elles ont besoin du regard du monde pour vivre, mais elle n’existe pas vraiment car elles ne sont réel que le temps où tout ce monde tourne vers elle leur regard.
Comprend-bien, il y a des chaînes qui enchaînent inlassablement celui qui croit en elle mais le jour où il s’en détourne, la prise enfin débranché de cette émission, l’emprise s’estompe d’elle-même.
Car tout tombe inlassablement quand plus personne ne la porte.
Voici une porte des plus importantes, entend bien, ce qui est dit pour bien entendre ce qui se dit en toi !
Qu’elle chaîne et donc à qu’elle fréquence tu t’ouvres chaque instant ?
Et par-là, qu’elle émission reçois-tu ?
Car tout est enfermé dans l’histoire que tu reçois, elle est le prisme de formation de ton être avenir !
Et je ne mâche pas mes mots, elle est le prisme, la forme qui va t’informer quoi être, qui croire, quoi faire, tout cela est l’essence même de tes futurs fondations !
Sur quoi veux-tu construire ta vie ?
Sur des chaînes qui t’empêchent d’être toi ou sur l’émission de ton unité ?
Car que sont véritablement ces chaînes qui te lient à un monde qui n’existe pas !
Ce sont les parois invisibles de ta propre prison, où emprisonné tu ne peux que voir la voix qui t’assiège de l’intérieur pour la vivre à l’extérieur !
Veux-tu sortir de cette histoire de fou ?
Veux-tu t’ouvrir à qui tu es vraiment ?
Si oui, écoutes moi !
Tu n’entends que toi, tout le temps, même quand les autres te parlent !
Oui, totalement, tu n’entends que toi car tu ne peux pas entendre autre chose !
Car pour l’instant tu ne peux tendre en toi, alors tout s’étend au multiple de toi même !
Car tu es si fragmenté, si divisé, si tourmenté que tu ne peux que te branché sur l’interférence de toi.
Tu n’entends que du bruit, et pourtant tu le prends pour quelque chose de réel, oui toi, tu le rends réel, tu lui donnes forme, tu le façonnes à la vibration qui raisonne .
Tu es un instrument constamment désaccordé, le son qui sort de toi est en fait inaudible car inutile.
Il ne te sert à rien, car tu ne peux rien en tirer si ce n’est partir à la conquête d’un monde qui n’existe pas et n’existera jamais.
Ce monde pourtant la multitude y es totalement enfermé, assujettit, pris au piège par cet interférence qui se sait ne pas être et pourtant fait tout pour ça fabrication et même s’il est factice, il se raccroche tous à cet interférence !
Mais qu’elle est cette interférence !
Interférence quand tu nous tiens !
Pour t’exprimer ce qu’elle est, il me faut de montrer ce qu’elle n’est pas !
Et pour cela, te dire ce que tu es !
Tu es tout, la vie, la forme, le monde, l’univers, les êtres, les mondes, les univers, les étoiles, les planètes, et tout ce qui s’y trouve !
Tu es la totalité de toute L’unité !
Tu es la vie même qui fait que tout existe !
Et tu es tout cela et bien plus mais tu ne peux pour l’instant le comprendre ni même l’intégrer car c’est trop lourd, c’est trop gros et pourtant cela est.
Maintenant que tu sais cela, tu peux comprendre cette interférence, elle est quelque chose qui se veut être, tout en étant rien et pourtant elle est le moyen même que les êtres suivent pour revenir à ce qui sont vraiment !
Cette interférence n’a de sens qu’à être dépasser, transcender, illuminer de la connaissance intérieur !
Car si elle n’est pas vu pour ce quelle est, elle est ce qui empêche de voir ce que tu es vraiment !
Et ce que tu es, tu peux le découvrir grâce à cette interférence, car toute forme et peu importe la forme provient du sans forme, de l’essence !
Et cette essence utilisera toujours tous les moyens pour te redonner la connaissance de ton propre chemin de retour.
Enfermer tu l’ais totalement mais si tu t’ouvres a ta propre voix, tu pourras utiliser toutes ces voix pour la bonne compréhension de toi même, tu verras de tes yeux l’utile dans toute cet étendu d’inutilité, tu entendras de tes oreilles d’abord puis de ton être ensuite la voix, ta voie, l’unique qui chante en coeur !
Il est là, il a toujours était là, du début et jusqu’à maintenant il attend patiemment que tu t’ouvres enfin à sa douce et suave mélodie !
Ces mots sont là posé sur cet écrin pour qu’un jour tu puisses l’ouvrir afin de t’ouvrir a toi-même !
Car tu es déjà tout mais tu ne le sais pas !
Tu l’as oublié et ainsi tu as donné tout pouvoir sur cette voix en toi, sur cette interférence qui te parasite depuis si longtemps.
Ouvres toi, tu es toujours et partout toi, mais ce toi est juste ce qui t’empêche de t’ouvrir à ce que tu es réellement !
Autant de temps pour…
Tu as appris beaucoup de choses, maintenant que tu sais que la majorité de tout cela t’est complètement inutile, que vas-tu faire ?
Peut-être apprendre à désapprendre !
Voix-tu, tu te trouves en haut de la vague, la forme est bien délimité, elle est même incrusté dans tout ton être, et tu te sais être cela !
Vague et incertain…
Cela te différencie, te symbolise et te fais vivre, car tu ne peux être autres parmi toutes ces vagues !
Mais cette vague que tu es, bien que te croyant belle et majestueuse, immense et rebelle, est et restera toujours l’océan, peu importe ce qu’elle croit, elle est la mer de tous !
Et dans cette mer, tu ne fais qu’un avec chaque goutte d’eau qui la constitue !
Tant que la vague en toi se croit être autre que ce qu’elle est, elle se vie autre, elle se voit autre car elle se croit autre, et ce n’est ni bien ou mal, c’est juste son expérience, son chemin qu’elle suit !
Puis son sens, et elle peut le vivre jusqu’à la fin, c’est son droit le plus ultime !
Pourtant elle ne sera jamais en phase avec elle-même, car elle joue un jeu, même si ce « je » est le moyen qu’elle a trouvé pour faire toutes ces expériences !
Mais une fois que tu comprends ce jeu, que tu voix toute l’étendue de cette illusion, de cette interférence, tu ne peux continuer à croire à cette vague, car tu as touché du doigt l’océan !
Et cet océan que tu es, t’appel du plus profond de toi même !
Ouvre-toi a moi, pour t’ouvrir a qui tu es !
Tu ne peux plus croire être cette vague éphémère !
Tu es bien plus que ça !
Tu es moi, et tant que tu te croiras toi, il n’y aura pas de place pour nous deux !
Alors apprend à désapprendre !
Désapprends-toi de tout ce qui t’as fait croire que tu étais toi !
Tu ne peux plus l’être, car déjà en toi une partie se ressouvient d’être l’océan, la mer de tous !!!
Les structures mentales
Pour désapprendre il est important de bien comprendre l’architecture de notre être !
Nous utilisons tous des structures mentales qui nous servent à décrypter le monde qui nous entoure, nous voguons de port en port rempli de balises et de repères qui nous empêchent de perdre pieds.
Nous nous servons de ces structures comme des routes, des passages qui nous emmène grâce au prisme de leur compréhension a la connaissance de savoir où aller, qu’elle chemin suivre, qu’elle direction prendre.
Tout est toujours une histoire de direction, car sans direction, ou vas tu arriver ?
L’importance de ces structures se retrouve dans leur effet, sont-elles stressante, oppressante, rassurante, aidante, car c’est à travers leur manière d’influencer l’être et de le répercussion que l’on peut les jauger.
Sont-elles utile ou inutile ?
Dans tous les cas, ces structures mental sont le socle de notre propre construction, elles sont la matière même qui nous constitue, et peu importe ce qu’elle sont maintenant, elle devront évolué vers une construction autre !
Il est utile de savoir comment t’aider toi-même à restructurer ta façon de voir les choses pour te donner la possibilité de te sentir plus à l’aise et plus a même de te confronter à la difficulté de t’ouvrir à ta véritable vie.
Toute structure est comme un carte qui permet de pouvoir s’orienter dans l’espace et le temps de ta propre vie, savoir que la carte n’est pas le territoire, mais juste une des possibilités de ton interprétation ouvre la voie à de nouvelles opportunités pour toi qui t’es enfermé dans la rigidité de tes propres croyances.
Donner de la substance là où elle se trouve absente et enlever là où elle se trouve trop présente !
Qu’elle est cette substance si ce n’est tes croyances sur toi et le monde !
Symboliquement les choses sont toujours porteur d’autres choses, le comprendre et l’assimiler permet d’ouvrir les portes de tes propres conditionnements et donc de ton propre enfermement.
Et ainsi apprendre la souplesse de voir les choses dynamiquement et non plus comme dans sa prime jeunesse les rendant rigide et cassante !
Tout est mouvement, il n’y a que l’être humain qui soit capable d’imaginer que tout est statique comme sa croyance acharné qu’il ne pourra jamais changé !
Mais tout change, tout va et vient, tout est là et ne les pas en même temps, il ne peut y avoir de non mouvement !
Mais le principe même de vivre est d’aller, nous sommes tous des marcheurs, même si nous ne savons pas qu’elle route suivre !
Et marché ne peux se faire sans marche !
Toute la vie est une marche pour se retrouver soi-même !
Tous les chemins du monde et de tous les univers ne sont que les routes que nous avons besoin de prendre pour se retrouver enfin !
Car tout est déjà là, tout est dans tout, et dans tout il y a toujours le chemin adéquat pour pouvoir se retrouver, s’éveiller à soi, s’illuminer de soi, irradier soi !
Donc comprends-tu, que peut importe ou tu te trouves, peu importe dans quelle époque tu es et peu importe qui tu es, tout, toujours, marche après marche tu retrouveras ton chemin, celui qui t’appartient en propre !
Ce chemin est ton chemin, ta route, ta direction à la rencontre de ce que es déjà de toute éternité avec ce que tu te crois être depuis ta tendre jeunesse !
Désapprendre ce que tu es, c’est comme refaire le chemin mais à l’envers, comprenant ainsi tous les événements qui tu as vécu, voyant l’extérieur et
l’intérieur déployer une magnifique danse pour te rendre ainsi toujours plus dense !
Ainsi, de toute la lourdeur que tu étais tu vas déposer peu à peu tous tes fardeaux, tous ce qui ta fait être toi, et de plus en plus léger tu vas te sentir !
Tu vas comprendre doucement tout l’inutilité de ce qui t’es arrivé tout en entrevoyant l’utilité en fond du pourquoi, du comment !
Tout ce que tu as projeté dans ce monde comme des parties de toi, de l’énergie, de la passion, des besoins, des émotions, tout cela tu devras te le rapproprier !
Tu ne dois rien laisser, en toi, il existe un miroir ou tout se reflète et ou rien ne se perds !
Tu as en besoin pour réintégrer la totalité de qui tu es !
Ici est tout le secret, car tout se fait en toi même si pour l’instant tu en ais totalement inconscient.
Ce miroir est la porte de ton infini, pour l’instant tout est noir et sombre, bruyant et effrayant pourtant il est la porte qui t’empêche de te retrouver !
Il te faudra du temps pour le rendre apaisé, silencieux et illuminer mais sache que tout vient à point à qui s’est attendre !
<h2>Interprétation quand tu nous tiens !</h2>
Ta partie consciente est le meilleur des interprètes qui soit, sois en convaincu !
Mais il est juste un interprète, il ne sait pas pour l’instant que dans la pièce de théâtre de son monde, il y a plein d’autres interprètes !
Ils vont rentrer doucement de plus en plus en interaction avec lui pour lui donner la possibilité de s’ouvrir à une nouvelle pièce.
Cette pièce apporte à ton puzzle intérieur, une nouvelle réinterprétation !
Si tu n’es pas tout seul en toi, qui sont ces autres ?
L’interprète que tu es pour l’instant est un masque que tu portes dans le monde extérieur.
Ce masque est celui qui te protège de toutes les contraintes que tu as emmagasiné tout le long de ta vie !
Il est celui qui interagit avec autrui, il est celui que tout le monde connaît !
Mais en toi, il y a aussi, une partie très sombre, cacher dans les profondeurs que tu gardes exclusivement pour toi, car tu ne peux l’a montré aux autres, ils en auraient trop peur !
C’est en cette partie, que le jeu commence !
Elle est essentiel, pourtant ce monde la rejette en bloc, la discrédite car il ne l’a comprenne pas du tout.
Et qui ne comprend pas ce qu’il y a en lui, ne pourra pas affronter le monde tel qu’il est en lui. L’ombre se projette toujours grâce à la lumière !
Elle vient éclairer quelque chose tout en créant une ombre derrière !
Ton ombre que vient-elle éclairé, ou bien qu’est-ce que tu ne veux pas montrer.
Dans ce jeu de lumière, il y a ce que tu vois et ce que vois les autres.
Pourtant, il y a deux poids, deux mesures, qu’elle est ce changement en toi que tu ne peux montrer !
Penses-y, pourquoi, cette partie de toi, tu la cache, est-ce que tu en as honte ?
Au point de la laisser seul, ignoré, mal aimé, dans les abysses de ton être les plus reculé !
Est-ce que tu la juges ?
Qu’a-t-elle de si différente de toi, elle est pourtant une partie de toi ?
Maintenant, ici, il faut que tu comprennes une chose importante, utile, voire même vital pour la bonne compréhension de la suite !
Tant que tu n’auras pas régler ton problème avec ton ombre, ton ombre planera anonyme dans ton monde extérieur !
Elle créera des conflits, des réactions disproportionnés, et surtout te poussera à faire des choses que tu ne te serais cru capable !
Comment tu me demandes ?
Te rappels-tu ce jet en toi qui t’alimente, tout ce que tu ne peux pas encore voir en toi-même ce projette dans ton monde extérieur !
Ton ombre que tu ne peux voir encore, ce projette chez autrui, tout en trouvant toujours le bouc émissaire adéquat !
<h2>Jeu d’ombre</h2>
Tout commence par ce jeu, il est l’histoire même de ce que tu crois !
Dans ce jeu d’ombre et de lumière, danse toutes tes parties, elles s’élancent les unes des autres, s’écartent, s’enlacent, puis s’effacent.
Pour bien comprendre, il faut voir ce qu’est ce jeu d’ombre, et donc l’utilisation des histoires qu’elles racontes.
Voici les racines de ce jeu, de cette histoire d’outre-tombe, tout commence par une singularité, une différenciation, une forme qui prit conscience d’elle même !
Voilà son histoire !
Elle s’arrête là !
Parce qu’elle ne peut voir au-delà, et ainsi elle s’enferme dans une multitude de chose et d’événement inutile en fait si ce n’est de valider ce qu’elle se croit être !
Tout réside là !
C’est pour cela que toutes ces histoires, une fois bien comprise, n’ont plus d’emprise sur toi car tu sais ce qu’elles sont !
Juste des histoires à dormir debout !
Mais pour que tu puisses bien te réveiller de ce cauchemar, toutes ces histoires qui te renferme en toi même, ont pour base une seul inconnue qui alimente tout en coulisse !
Et c’est ton ombre, cette partie en toi qui reste inconsciente, est le moteur de tout, de tous, et en même temps même si il se prend pour le roi du monde il n’en reste pas moins être juste un moyen, une porte, un sas par lequel chacun doit passer pour pouvoir transmuter tout l’inutile, toutes les faiblesses, tous les manques, etc…
Tout ce que l’on rejette vient alimenter cette part importante de soi-même !
Importante car elle porte toute l’unité de ce que nous sommes !
Tu dois bien comprendre, qu’il faut tout réintégrer, et cette part est bien trop inconnu pour toi !
Es-tu prés à la recevoir, à échanger avec elle pour la comprendre, l’aimer, la secourir car c’est bien ce qu’elle a besoin, d’être pris en compte et non plus rejeté, oublié, dénigré !
Comme tu peux le voir, tout le processus d’éveil à soi, est un processus intérieur, mental !
Pour que tu désapprennes à être toi, il te faut apprendre à intégrer toutes ces parties de toi qui sont en toi mais pas consciente !
Tant qu’elles ne sont pas consciente, elles seront continuellement projeté sur l’extérieur de ton monde pour que tu en prennes conscience.
Tout est une prise de conscience !!!
Seulement, avant, tant qu’elle reste débrancher l’emprise règne !
L’emprise est cette prise d’inconscience !
S’ouvrir à la pleine conscience, est la plus belle des fleurs qui te soit données !
Sans cette pleine conscience, tout est sombre, car tout est porteur de ce que tu ne peux accepter en toi même !
Tout est dans ce va et vient et tant que tu ne l’intègres pas il sera toujours fracassant et tonitruant !
Intégrer cette conscience-là, c’est comme inverser le cours du monde !
Pour anéantir toutes les tempêtes qui pourrait survenir, et l’espace d’un instant, passé dans un autre monde, inverser et illuminer !
Où tout devient sens, langage, où tout ce comprend simplement, où tout coule de source !
S’ouvrir à cela est totalement naturel, ce qui pourrait être vu contre nature est de rester enfermé dans l’illusion de se prendre toujours pour autre chose !
<h2>Histoire de MOI</h2>
La structure de ton histoire, de sa relation avec toi, et ainsi de tes projections sur autrui sont la base de ce cinéma qui sans cesse se projette devant toi.
C’est est une image mouvante, un film qui se donne à voir mais qui ne se vit pas !
Qui se raconte, qui structure ton imagination à ne voir que lui, il est ce moi qui ne pourra jamais exister car il n’est pas, il est juste le fantasme, le brouillon, la pâle copie de ce que tu es vraiment.
Tant que tu es enfermé dans les filets de ta propre projection, il n’y a pas de place pour être, car être ne se dit pas ni ne se raconte, être se vie sans rien n’y ajouter.
Tout dans le moi, est un ajout qui sans cesse ne fait qu’interpréter les images qui s’enchaînent !
Tout est cinéma, tout est histoire que l’on raconte a soi et aux autres, tout est image de ce que l’on croit.
Qui peut se dire être l’acteur de sa propre vie, ou en être seulement le simple figurant ?
Est pourquoi ne pas en être le réalisateur ?
Réalises-tu où tu te trouves ?
Et réalises-tu, ce que cela veut dire ?
Tout est histoire dans une histoire qui se retrouve être une autre histoire !
Veux-tu sortir de cette boucle infernal, de toutes ces histoires ?
Si oui, comprend qu’il va te falloir devenir maître en histoire, et par là en toutes ces croyances qui asservissent ton monde !
Ton monde est construit entièrement sur toutes ces histoires !
Mais l’histoire, ton histoire tu peux l’écrire à l’ancre de ton être !
Tu n’as pas besoin de toutes ces histoires, ferme la porte à toute cette vibration, a toutes ces interférences, elles te sont inutile, nuisible même !
Ouvre-toi, juste à toi, a ce qui sourde à l’intérieur de toi !
Tu as tout en toi !
Alors retourne toi, retourne toute choses pour ce qu’elles sont !
Tu n’as besoin que de toi, juste toi !
Es-tu prêts à être souple avec toi même ?
A être vrai ?
Car sans la souplesse tu ne peux avancer sur ton propre chemin et sans te raconté d’histoire mais en voyant sereinement ce qui se passe en toi comme à l’extérieur tu peux diriger tes pas correctement.
<h2>Au centre</h2>
Au centre de toi même, tout vient, tout est, tout se donne !
Tu dois trouver le centre en ta vie comme en ton être !
Toute ta nouvelle histoire débute au centre, car sans lui tu ne pourras te réaliser !
Car tu ne peux t’extraire de ton jeu, et ensuite réécrire un nouveau monde sans centre, le centre est l’impulsion primordiale, il est l’acte même créateur !
Comprends bien l’utilité de tous ses innombrables centres d’intérêts qui existent de par le monde !
Ils sont très utiles pour tous ceux qui cherchent un centre à l’extérieur de leur vie !
Mais toi, que recherches-tu ?
Si c’est ton centre, il est là, et n’attend que toi !
Comment faire pour trouver ce centre ?
Il est partout et nul part, mais sache qu’il est surtout en toi !
Il est le point ou tout vient au monde !
Il est le début de l’oeuvre spiral, il est le mouvement de l’aller et le mouvement du retour !
Trouver ton centre c’est inversé le monde, ce n’est plus de l’intérieur vers l’extérieur mais de l’extérieur vers l’intérieur !
C’est le basculement d’un monde insensé vers un monde où tout est sensé !
Est qu’elle est le sens, si ce n’est de réintégrer la totalité de soi projeté tout le long de sa vie, trouvant dans sa totalité, l’intégrité de son unité et de son centre pour déployer son propre monde de manière consciente et plus inconsciente !
Mais avant de trouver ce point des plus important, il faut comprendre et intégrer les idées sur le temps.
Un temps pour tout et un temps pour chacun !
Maintenant il faut que je te parle de la nouvelle religion des temps modernes.
Elle se prénomme le progrès et la technologie sa servante !
Pour cela il est important de bien comprendre ce que sont devenues les idées et les croyances sur le progrès et corrélativement sur la technologie qui en découle.
Pour faire bref, toutes croyances ne peut avoir de destinée autre que celle de disparaître, elle apparaît un temps pour ensuite se faire remplacer par une autre et ainsi de suite.
La religion du progrès est morte elle aussi, même si tout dans le système essaye de la maintenir le plus longtemps possible en marche.
Comme a pu dire il y a quelques années Nietzsche : «Dieu est mort», similairement dans le passé une croyance générale a longtemps perduré dans le mythe d’un âge d’or passé où tout était parfait, la nature, l’homme, etc…
Alors qu’inversement le mythe du progrès redéfinissait le rapport au temps vers un mieux vivre futur pour protéger le monde de la terreur de l’incertitude de la société.
Après sera mieux que maintenant grâce au progrès et aux différentes évolutions technologiques qui nous donnerons les solutions à tous nos besoins.
En conséquence tout le nœud du problème ne se trouve pas directement être lié à nos croyances seulement mais surtout dans notre rapport au temps.
D’un côté, penser à un temps ancestral où les êtres vivaient dans un paradis divin ou de l’autre penser à un avenir où grâce au progrès cela nous amènera à vivre dans un paradis de technologie.
L’un comme l’autre nous empêche d’accéder à cette expérience temporel dans l’instant !
Elle est le processus même qui nous bloque l’accès au plus grand des bouleversements qui est de vivre dans le présent !
Tout est présent, pourtant nous sommes toujours aux abonnés absents.
Absent à cette totalité qui se donne invariablement, constamment.
Pourtant ce champ qui pour nous parait être juste un instant, un passage et rebelle, nous déstabilise et nous fait incessamment dérailler sur les rails des fantasmes d’avant et d’après.
Ainsi nous sommes ancrés dans le port de notre tête, là où tous les navires de nos pensées nous assiègent littéralement à quais.
Encercler, immobiliser, nous ne pouvons plus partir au large et découvrir cet océan vaste et paradoxal, ce champ totalement irrationnel.
Ce chant pourtant est une musique qui au départ ne peut pas être interpréter, assimiler car il est le summum de la vie, son origine et par là son expression ; telle une symphonie des sphères célestes.
Pourtant tout est toujours présent, même si nous sommes constamment à côté de la plaque qui comme toute plaque tournante nous empêche de focaliser notre attention à ce qui est là, présent.
Mais pour ce présenté à nous, il n’a d’autre choix que de se mettre à notre niveau, à notre hauteur.
Chaque chose qui se présente et frappe à la porte de nos vies sont comme des messages qu’ils envoient dans l’espoir que l’on puisse les ouvrir et les lire.
Mais on ne sait plus lire, on ne sait où tourner la tête dans ce manège aux alouettes.
Alors dans cette révolution, dans ce mouvement perpétuel qui nous donne le tournis, tout vient à nous dans tous les sens.
Où peut être bien, tout part de nous ?
Serions-nous alors l’essence de cette danse qui nous subjugue, qui se joue de nous pour nous attirer dans sa toile ?
Et nous acheminer au centre, pour vivre l’absence comme une porte et le silence comme moyen, pour enfin retrouver la présence.
La présence d’esprit de qui nous sommes vraiment !
Comme si de tout temps tout était déjà présent, dans la totalité de ce qui est.
Comme si tout était dans tout, et qu’il n’y avait que soi.
Soi-même se découvrant, se dévoilant, se dénudant de toutes couches juxtaposés, jusqu’à être nu de tout, même de l’idée de soi-même.
Et naître à nouveaux du néant…
Tant que l’on n’est pas dépassé par les événements on tourne en boucle dans un train-train qui s’auto-alimente de l’intérieur comme de l’extérieur.
Le monde est terne et fade car incompréhensible, sans valeur, c’est le siège de la survie ou chaque être inconscient de lui-même comme des autres se heurte sans cesse contre lui-même.
Fuyant sans cesse, l’on veut aller toujours plus vite par peur de s’arrêter et de se voir enfin, de s’affronter, alors en vain on se projette au monde en voulant tout prendre, tout en perdant le plus important : son rapport à soi-même.
Dans cette espace de courte durée, il n’y a que des satisfactions éphémères qui s’enchaînent, nous enchaînent car on ne peut être dans la durée et alors cela devient insupportable.
L’on ne se supporte plus car depuis le début on nous dit que nous ne sommes pas assez bien, pas à la hauteur, qu’il faut que l’on soit toujours autre, diffèrent.
Alors on part à la recherche de ce devenir pour être enfin celui qu’il faut, mais est-ce possible d’être vrai quand tout est faux.
Nous courons après des chimères, nous sommes déjà tels qu’il faut, et nous n’avons pas besoin d’être autrement.
Voilà la porte la plus redoutable, c’est cette croyance que nous ne sommes pas comme il faut, et qu’il faut tendre vers cette autre façon inconnu d’être.
Recherche qui n’en finira jamais et c’est bien pour cela que nous n’avons accès qu’a des plaisirs éphémères, car nous sommes éphémères, toujours changeant, telle une girouette prête à suivre le meilleur mouvement.
Voilà la porte qui ferme l’accès à cette passerelle, enfermé sur ce pont, créait par toute la matière de nos croyances.
Pourtant l’être est sa seul porte de sortie, comme la seule porte qui lui barre la route.
Les limites qui s’imposent peu à peu se resserre, l’étouffe, l’oppresse, le haut le presse, comme un citron, il lui faut goutter, digérer puis assimiler son propre jus qui acide au départ deviendra fruité et savoureux pour pouvoir dépasser le dilemme qu’il vit.
Et tant que cela reste un paradoxe, les contraires ne peuvent se réconcilier pour l’enfantement de son être véritable (soi).
La passerelle est là pour l’acheminer devant ce paradoxe pour qu’il en devienne sa propre nourriture, sa propre réponse, pour qu’enfin il vive ce qu’il est et non plus ce qu’il pense, car là réside tout l’espace qui le sépare de la solution.
A force de repasser sa vie c’est la vie qui te passe au-dessus.
Tu en deviens une passerelle qui est ce va et vient, ballotté entre l’avant et l’après, il n’y a pas de juste milieu, seulement un balancement infernal et perpétuel.
Et quand sa vie est sans dessus-dessous, il n’y a plus de base solide pour la vivre, car tout fuit l’instant, et le moment…
La présence en toi est l’éternel absent de ta vie, alors tu en deviens toi-même le continuel absent !
Pourtant chaque instant la vie appel le vivant, et seul ce qui sont présent peuvent y répondre !
Alors quand le présent se présente à toi, ne ferme plus ta porte mais laisse là ouverte, si tu veux ne plus te fermer à la source en toi-même !
Une fois ouvert à se présent si chère à ton coeur, tu y découvres un champ merveilleux qui est l’hors du temps.
Il n’appartient plus à ce monde, au de-là des tensions et donc du temps, siège de l’irrationnel et de l’incompréhensible car issu du sublime, de l’origine même !
Ici l’attraction du monde s’estompe, l’apesanteur peu à peu laisse place à la légèreté du vent et de la brise.
Pourtant le monde est toujours le monde, mais toi tu n’es plus l’enfant s’alimentant dans ce monde car tu découvres une nouvelle nourriture.
Se met délicieux t’est apporté par notre Grand-mère à tous, et c’est pour cela que tu apprends peu à peu toute l’utilité de la grammaire.
Elle te permet de conjuguer ta vie d’une nouvelle manière, de t’ouvrir à une toute nouvelle signification des choses et des êtres avec comme corollaire tout un nouveaux vocabulaire.
Une fois ce présent ingéré et digéré, le message apparaît, et ce met sage t’apporte la possibilité de ton passage, ton pas sage, au sage en toi en devenir.
Il n’est plus besoin de taper à ta porte, puisque maintenant elle est ouverte.
Alors l’éclatement du monde s’inverse, l’éclat tout court des objets et des sujets de cette réalité décline peu à peu, pour ne devenir que ce qu’ils sont…
Et quand tu ne projettes plus sur l’extérieur, objet, sujet, seul le jet reste !
Et qu’est-ce que le jet, si ce n’est la source d’où tout provient, et où tout s’actualise.
Toi.
Mais alors…
Le moi prend peur devant ce retournement de situation car d’un endroit bien tranquille tout bascule dans l’envers d’un décor où tout vacille parce que tout ne fais qu’aller sans jamais s’arrêter, fontaine continuelle, ou seul le mouvement, le changement est.
Là s’en vient l’affrontement de toutes tes peurs, et seul face à face avec toi-même tu ne peux que vivre cette épreuve pour trépasser de cette vie finie vers ta véritable vie infinie.
Passer par l’étroit passage, canal digérant l’inutile et le futile, pont te ramenant à la nudité de ton être le plus secret, car là où tu vis maintenant, ne vit que ce ,qui de la même essence s’harmonise.
Ainsi s’entrouvre une nouvelle communication car tu es au diapason du vivant, et le vivant donne toujours de multiple floraison pour que chacun puisse y ,trouver bien plus que le nécessaire.
Cueillons cette fleur ensemble, elle exalte un parfum sublime et rafraîchissant, toutes ses couleurs sont une chanson qui t’apporte une histoire.
Cette histoire est pour toi seul, car il n’y a que toi qui peu la comprendre, car elle fait partie de toi sans que tu le saches encore.
Elle te raconte comment dépasser ton histoire, la fameuse qui sans cesse te repasser pour en découdre et te coudre soigneusement à la trame de son devenir.
Maintenant que tu as trépassé le devenir, pour ne vivre qu’au présent, un ,présent est devant toi les mains ouvertes avec un écriteau dessus où on peut y lire :
Au crépuscule de ton histoire, l’aurore de ta légende surgit !
Ci-git ta légende ou l’ouverture à ta propre vie, à ta propre expérience, à ta ,propre voie.
Avant tu étais enfermé dans les coulisse de l’histoire, l’histoire qui se raconte au plus grand nombre, l’histoire qui enferme, enchaine l’être dans la vallée de ,la peur et de l’angoisse.
Et une voix te crier du fond de l’abysse : ouvre-toi à moi, écoute moi, je serais pour toi la porte qui t’ouvre à ce qui tu n’imagines pas.
Tu as ouvert la porte de ce présent.
Ainsi la voie que tu prends est la voix qui te libère.
Petit à petit elle t’achemine de la vallée des horreurs, val de leurre et de temps…
De la valeur à toute chose à la valeur de toi-même.
Délaissant les heures sombres de l’histoire de ce monde pour retrouver le sentier de la hauteur de ta montagne, l’élévation à ta propre légende.
Vois maintenant, tout se rassemble devant toi, la voie d’un nouveau chemin, la voix de ton être véritable, te poussant vers la légendaire et merveilleuse voie à toi.
Non pour les autres, car la plupart son illusionné dans l’histoire de leur petite histoire, mais dans ta propre redécouverte de ton royaume, fabuleux et sacrée.
Dans ce nouveau monde, il n’y a plus rien qui se superpose à toi, il y a seulement maintenant l’espace nécessaire pour te recevoir de nouveaux, te retrouver de plus belle.
Tu vas apprendre à ne plus prendre les choses pour ce qu’elles ne sont pas mais pour ce qu’elles te transmettent.
Tout est vie, énergie et surtout information, tout à un sens, et c’est bien là le sens du Sacré, tout va créer en toi un sens, vierge de toutes tes anciennes conception.
Sa Crée Toi, l’extérieur d’avant n’était que les prémices du lever de ton soleil intérieur.
L’univers existe que pour être structure, et l’échelle qui te porte à redécouvrir tout ce monde à l’intérieur de toi, car tout s’unit vers toi, car tu es déjà tout, mais tu ne le sais plus.
Pèlerin du cosmos, tu as voulu expérimenté le chaos de l’oubli, la dualité de ce monde étrange et au combien enrichissant, tu te lèves à présent après moult révolutions, riche de toutes tes expériences et tu te sais chez toi par tout.
Car tu es le tout, vivant en lui-même le devenir de ce qui est déjà éternel.
Maintenant tu vas traverser l’immensité avec une nouvelle boussole, branché au pôle de ton être le plus sacré.
La vie…
Ton présent est véritablement sacré, alors crée-le !