1 – De la chose commune
Res communis (chose commune, au pluriel « res communes », choses communes) est une expression latine utilisée en ius publicum (droit public) qui désigne une chose ou un bien commun, c’est-à-dire qui – de par sa nature – ne peut être appropriée.
Elle appartient à tout le monde, à tous les citoyens et est de ce fait accessible et utilisable par tous.
Ecrire d’innombrables choses communes pour atteindre en fin de compte l’ultime chose commune…
C’est aussi et peut être s’ouvrir à la délicatesse de toutes ces vagues indéfinissables qui porté par l’insondable océan nous apporte des profondeurs abyssales son message écrite par l’écume de la mer.
Merveilleuse en effet, la chose commune est entre toute, le lien de la vie qui nous unit tous, nous rassemble dans son expression éternelle et pourtant intarissablement différente.
Tout cela peut paraitre vague, comme la vision d’une nuée ardente, dont le sens se perd inlassablement dans le désert de notre compréhension.
Et pourtant la chose commune est la matière même qui peut nous permettre de nous ouvrir à une autre compréhension.
Et qu’est ce qui est commun à tous ?
La vie qui est en nous comme la conscience qui nous anime, ne sont-ils le pont qui nous permette d’être lier, relier les uns aux autres.
Alors pourquoi tout ce qui en nous se partage, nous, nous ne pourrions pas le partager de même ?
Cette chose commune !
2 – La chose
Mais avant de se focaliser sur toutes ces choses, qu’est-ce donc cette chose ?
La chose en elle-même n’est pourtant rien, elle n’a pas d’existence, sauf si et seulement si, elle se retrouve lié d’un rapport avec autre chose, devenant ainsi sa projection, tel son avatar.
Une fois la liaison intégrer intellectuellement la chose est devenu totalement autre chose et il en devient facile de manipuler le discours pour le rendre banal mais tout en faisant passer la chose pour plusieurs choses.
Quand on parle de choses et d’autres, bien souvent quand on veut dissimuler la conversion pour les personnes autour qui ne doivent pas comprendre de quoi on parle, on emploie facilement cette chose-là, qui est de parler de bien autres choses tout en parlant de ces choses que l’on comprend qu’entre ceux qui savent de quoi on parle.
Pour tous les autres, c’est à dire ce qui se retrouvent hors du contexte ils entendent des mots creux, de ce que l’on ne sait pas faire raisonner, sonner, et donc où l’on ne peut comprendre seulement l’écorce dur et aride.
La chose pourtant est le père de tous les autres mots, car tous à leur tour sont utilisés pour bien autres choses que ce qu’ils sont.
Partant de là, la chose a son origine qui préfigure dans ses différentes strates, contextes, plans, lien, dépendance, toutes les possibilités des rapports entretenue.
Entre la chose et l’autre est tenu l’accès à ce qui se cache à l’intérieur de la chose.
Etant donné que les choses n’existe pas comment peuvent-ils caché quelque chose en eux ?
3 – Les rapports des choses
De deux chose l’une, premièrement la chose et deuxièmement ce qu’elle réfère, car la chose ne peux avoir d‘existence que dans sa référence avec cette autre chose qui la rempli d’elle-même.
Et telles des bouteilles renfermant des lettres précieuses qui de jeter à la mer n’attende plus que des personnes viennent sortir la bouteille et l’ouvrir pour y découvrir le fameux message.